Full text: Commissions I and II (Part 4)

  
  
QUELQUES QUESTIONS D’OPTIQUE PHYSIOLOGIQUE, DISCUSSION 
Author’s Presentation of the Paper 
in the Meeting held on Thursday, 15th September, 1960 
Monsieur le President, mesdames, messieurs. 
Dans la suite des operations qui conduisent du 
terrain à la carte ou plus généralement, d'un 
objet photographié à sa description graphique 
ou autre, le chainon le plus complexe est l'opé- 
rateur humain. Or, les études qui le concernent 
et qui sont l'oeuvre de photogrammétres sont 
extrémement rares comparativement à celles qui 
s’intéressent aux autres chainons. Il y a là une 
lacune flagrante, aussi faut-il remercier le prési- 
dent de notre Commission d'avoir tenté de la 
combler. N'ayant pu s'en occuper lui-méme, ce 
que sa compétence rend fort regrettable, il a cru 
pouvoir me confier cette tâche, mais j'ai dû me 
borner à coordonner tant bien que mal les tra- 
vaux de spécialistes plus avertis. Il y a dans le 
monde en dehors des photogrammètres seule- 
ment un très petit nombre de personnes capa- 
bles de nous aider, et nous sommes heureux 
d'en compter aujourd'hui deux parmi nous. 
Je ne veux pas redire ici ce qu'on peut lire 
dans la communication que j'ai rédigée en jan- 
vier dernier, distribuée à tous les congressistes 
et dans le résumé qui a paru dans ,,Photogram- 
metria” XVI,3. Mais je voudrais attirer l’at- 
tention des photogrammètres sur l’importance 
de l'optique physiologique. Il ne s’agit pas de sa- 
voir comment fonctionne dans le détail la ma- 
chine humaine En effet nous pouvons l’étudier 
plus simplement en tant que transmetteur d’in- 
formation. On fournit quelque chose à l’entrée 
(Input), et l’on étudie ce que l’on obtient à la 
sortie (Output). L’observateur regarde avec les 
deux yeux deux clichés placés dans un instru- 
ment et il réagit. Dans l’étude de sa réaction 
nous nous sommes placés à deux points de vue. 
Le premier consiste à savoir comment l’opéra- 
teur interprète ce qu’il voit — c’est l’étude de la 
relation entre l’espace physique et l’espace vi- 
suel. Le second consiste à faire des statistiques 
sur la sortie — c'est notamment l'étude statistique 
de l'activité stéréoscopique — et par conséquent 
des tests correspondants. Au premier point de 
vue se rattachent les interventions de nos deux 
invités non photogrammétres, Monsieur le doc- 
teur Günther de Zeiss, Oberkochen, et Mon- 
sieur Blank, professeur à l'université de New 
York, qui prendront la parole. Le róle du chro- 
matisme de l'oeil sera exposé ensuite par notre 
président Monsieur Cruset. Puis viendra l'ex- 
posé de Monsieur le Général Hurault qui em- 
brasse les deux points de vue puisqu'il concerne 
les idées maitresses de l'important ouvrage que 
l'orateur a consacré à l'ensemble de ces ques- 
tions. Le point de vue statistique sera plus spé- 
cialement traité par Messieurs Fagerholm et 
Lorenz. Enfin, un point de vue plus restreint 
mais capital concernant le mécanisme du pointé 
stéréoscopique sera évoqué par Monsieur Hoth- 
mer, aprés quoi nous pourrons ouvrir la discus- 
sion. Je prie le premier de nos orateurs, Mon- 
sieur le docteur Günther, de prendre la parole. 
Discussion 
Dr GUNTHER: Meine Damen und Herren. 
Der Faktor der Reliefüberhóhung — ich kann 
leider nur deutsch sprechen, ich muss mich ent- 
schuldigen, dass ich hier deutsch vortragen muss 
- der im Englischen *degree of exaggeration", 
im Französischen “facteur d’exaggération” 
heisst, den móchte ich mit F bezeichnen, fac- 
teur d'exaggération. Und dieser Faktor ist gleich 
der bei der Betrachtung einer Luftbildaufnahme, 
gleich, ich schreibe EW : H. Darin ist EW die 
wahrgenommene Entfernung im subjektiven 
Raum meines Stereobildes und H ist die redu- 
zierte Aufnahmehôhe. H gleich Hohe, in der das 
Flugzeug bei der Aufnahme fliegt, mal Basis des 
Auges, d h Pupillendistanz der Augen durch 
Basis, mit der die Aufnahme gemacht wird. Das 
nenne ich reduzierte Aufnahmehóhe. Und das 
Verhültnis der Aufnahmebasis und Flughóhe 
des Flugzeuges wird bei uns im deutschen 
Sprachgebrauch als Überdeckungsverhältnis be- 
Archives 4 
zeichnet. B : H ist das Überdeckungsverhältnis. 
Das wird im allgemeinen 1:3 gewählt, nicht 
immer, aber im allgemeinen 1 : 3. Diesen Teil 
wollen wir einmal annehmen. Die Basis des 
Auges, die Pupillendistanz der Augen soll mal 
im Mittel 6,5 cm sein. Dann ergibt sich für die- 
sen Fall für einen Menschen mit 6,5 cm Pupil- 
lendistanz bei einem Überdeckungsverhältnis 
von 1:3 eine reduzierte Aufnahmehöhe von 
3 X 6,5, das sind 19,5 cm. Nun ist zu fragen, 
wie gross ist die wahrgenommene Entfernung, 
die Entfernung EW, die Distanz EW. 
Das hat Monsieur Baetslé in einer Arbeit 
untersucht, indem er streng geometrisch, also 
strahlengeometrisch-optisch abgeleiteit hat, dass 
hier herauskommt für diese wahrgenommene 
Entfernung, die bei der Konvergenz auftreten- 
de Entfernung, nàmlich also in einem Stereos- 
kop: ich blicke hier in ein Stereoskop; ich habe 
hier zwei gleiche Bildteile, dann sehe ich in einer 
— 
AN SE EE 
  
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pere nns — 
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
    
    
   
   
   
  
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
    
   
   
    
   
   
   
   
   
  
     
   
   
   
  
    
    
   
  
  
  
   
   
  
    
  
 
	        
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