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nement JO d’un plan horizontal de référence,
celui qui se trouve le plus bas dans le terrain et
par l’échelle des objets dans ce plan — mais les
verticales du terrain deviennent des droites qui
convergent vers un point de fuite, et l’échelle
n’est pas la même le long de ces verticales que
dans le plan horizontal de référence. Il y a un
étirement vertical qui n'est d'ailleurs pas régu-
lier, qui est progressif ou dégressif. Quand on
déplace le stéréoscope latéralement sur le sté-
réogramme pour explorer toute la surface utile
du couple, le point de fuite des verticales se
déplace également latéralement. Les verticales
se couchent en accompagnant le stéréoscope.
Le coefficient d’étirement vertical dont je viens
de parler varie avec la distance AO. Il diminue
lorsque AO diminue. Il existe une distance AO
donnant un coefficient d’étirement vertical local
égal à 1, mais dans la plupart des cas de la pra-
tique en photographie aérienne, A'O est infé-
rieur à la distance minimum de vision distincte.
En fait, l'expérience montre que la reconsti-
tution spatiale réelle est une opération mentale
de caractére subjectif — dans un stéréoscope on
peut faire varier dans de larges limites la con-
vergence des lignes de fixation sans modifier la
reconstitution spatiale. Les observateurs font un
choix plus ou moins inconscient de la distance
l'O — ils ont tendance à la choisir trés faible aux
environs de la distance minimum de vision dis-
tincte, ce qui diminue le coefficient d'étirement
vertical. Dans la plupart des cas dans la pratique
I'étirement vertical reste dans des limites ad-
missibles et n'est pas choquant — il atteint 21.
C'est la distance focale de la chambre de prise
de vue et son format — en supposant que le re-
couvrement soit toujours le méme, par exemple
de 55 à 6096 — c'est la distance focale de la
chambre de prise de vue et son format qui fixent
le coefficient d'étirement vertical. Celui-ci est
accru par l'emploi des chambres grand angu-
laires. Dans le cas des anaglyphes AO est voisin
de la distance à laquelle on observe le docu-
ment. Dans le cas des projections en relief sur
un écran /l'O se trouve sensiblement matérialisé
par la distance de l'écran qui est de quelques
metres. Ainsi s'explique l'impression d'étirement
Vertical exagéré que l'on éprouve dans ce genre
de projection.
Dans la pratique de la photographie aérienne
On s'écarte malheureusement plus ou moins de
l'hypothése du stéréogramme normal. Les axes
de prise de vue ne sont pas exactement paral-
lèles ni perpendiculaires à la base. Lorsqu'on
assemble alors dans un méme plan les deux pho-
tographies d'un tel couple pour l'observer dans
Un stéréoscope l'introduction des parallaxes
QUELQUES QUESTIONS D'OPTIQUE PHYSIOLOGIQUE, DISCUSSION
transversales qui interviennent à ce moment-là
est une géne pour le fusionnement stéréoscopi-
que. Ce fusionnement peut devenir impossible
en dehors du centre même du couple — devient
très difficile sur les bords. L'introduction de
parallaxes longitudinales, elle, entraîne par ail-
leurs les déformations des plans horizontaux qui
sont bien connus de tous les photogrammétres.
L'expérience montre que ces déformations sont
trés graves pour l'interprétation. Dans de nom-
breux cas l'observateur lutte pour s'en affranchir
lorsqu'il sait qu'elles ne correspondent pas à la
réalité. De nombreuses autres causes de difficul-
tés de fusionnement et de déformation du relief
interviennent. Citons: le glacage des épreuves
sur papier, l'insuffisance de précautions dans la
planéité des photographies assemblées, la dis-
tension des oculaires du stéréoscope, l'emploi
d'obturateurs focaux à fentes mobiles auxquels
il convient de renoncer.
Les principales conclusions à tirer sont: Pre-
mièrement, on doit assurer une verticalité très
approchée de l’axe de la chambre de prise de
vue, les tolérances sont d’autant plus faibles que
l’angle de champ est plus grand. Pour un demi
champ de 90° la tolérance est de l’ordre de 1°.
Elles sont beaucoup plus faibles pour les très
grands champs angulaires actuellement envisa-
gés; Deuxièmement, on doit prendre toujours
d'extrémes précautions pour assembler un sté-
réogramme. Troisiémement, les usagers doivent
étre trés circonspects dans toute tentative de des-
siner à vue des courbes de niveau pour repré-
senter les formes du terrain. Les simples mesures
de différences de relief effectuées avec les ba-
ses de parallaxes ne peuvent donner des indi-
cations acceptables que si l'on compare des
points extrémement voisins. Dans l'interpréta-
tion en résumé il convient en matiére de relief
du sol de se contenter d'une compréhension
générale des formes relatives et d'appréciation
différentielle.
Mr P. O. FAGERHOLM: Due to the time limi-
tation I am going directly to the main point
which I should like to emphasise, and that is
the need for really good stereo acuity testing
methods. It has already been tested here, visual
space for interpretation, visual space problems
for photo interpreting and stereo acuity pro-
blems for stereo plotting and in the map-making
phases of photogrammetry. I think the stereo
acuity is the dominant problem from the physio-
logical optical point of view. In my paper, which
is available — but I do not think many of you
have had time to read it during this very busy
Congress — I have presented to you some tests
wa —
es pee
rome ee
—
DIOE
d
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SE EE ES
GE EEE