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L'Anamorphose des Faisceaux Perspectifs
en Photogrammétrie
Application à certains Appareils de Restitution
Communication présentée à la Commission II
du Congrès International de Photogrammétrie
(Londres-Septembrel960)
Le probléme de l'établissement des cartes à petite échelle (1/100,000 = 1/200, 000)
par voie photogramm étrique a reçu depuis quelques années, des solutions très satisfai-
santes, Le processus retenu par l'Institut Géographique National pour ses travaux qui
portent annuellement sur le levé de plus de 200, 000 km2 est le suivant :
- couverture photographique sur plaques avec des chambres grand-angulaires, à
l'échelle 1/70.000 environ (altitude de vol voisine de 10, 000 m) ;
- aérocheminement -(en terrain accidenté ou trés couvert de végétation), pour dé-
+
terminer le canevas de restitution à partir d'un minimum de déterminations au sol ;
- en terrain’ peu accidenté, enregistrement des profils dans la partie commune à
deux bandes de photographies adjacentes, et rattachement de ces profils au nivellement
de précision ;
- restitution au 1/100, 000 (ou au 1/200,000) avec le stéréotopographe type D.
Il est certain que le procédé permettrait d'obtenir un excellent 1/200,000 régulier
^
en utilisant des photographies à plus petite échelle.
Or, pour accroftre encore la rapidité d'établissement de cartes au 1/200, 000 et di-
minuer leur prix de revient, il faut s'efforcer d'augmenter la surface de terrain, couverte
par chaque cliché. Ce résultat ‘peut être obtenu de deux façons :
La première et la plus satisfaisante consiste à augmenter l'altitude de vol de l'avion
photographe ; malheureusement on se heurte à des impossibilités matérielles, Il est extrê-
mement difficile actuellement d'opérer de façon régulière et intensive au-dessus de
10,000 m d'altitude ; c'est ce qui limite à 1/75, 000 environ l'échelle des clichés utilisés
par l'Institut Géographique National.
La deuxième consiste à accroftre le champ angulaire des chambres de prise de vues,
Cette solution n'est pas sans inconvénients ; en particulier :
- la qualité des images des chambres très grand angulaire est nettement moins bonne
que celle des images obtenues avec les chambres grand-angulaire. Il n'est donc pas cer=
tain que l'on puisse bénéficier de toute la réduction d'échelle que laisserait espérer les
clichés grand-angulaires.
Les zones en "angle mort" sur les bords du cliché prennent une importance considé-
rable et limitent l'intérêt de telles chambres pour les levés des régions quelque peu ac-
cidentées,