ze ur
En prenant en outre pour composantes instrumentales de la base :
bs .oB et b = ©
on constate d'après les formules (2) que les rayons O, m, et O» m, Se coupent effec-
tivement en un point m de coordonnées : |
7 = 0 Z
n
X = p X
y''* py
Au deuxième ordre près, il n'y a donc pas de parallaxe transversale. Le modèle
est transformé par une affinité parallèle à l'axe des Z. L'échelle planimétrique est o,
l'échelle altimétrique :
p|©
= pr
p
Les décentrements introduits ont une signification géométrique trés simple : ils sont
tels que, aux verticales des points de vue 51 et S, , considérés comme appartenant aux
faisceaux perspectifs, correspondent des verticales instrumentales.
Placons nous dans le plan vertical contenant la ligne de plus grande pente du cliché,
par exemple, Soit n le nadir vrai et c le point principal, i l'angle d'inclinaison. (fig. 3).
On a nc = pi au 2éme ordre prés, Dans l'appareil de restitution, l'angle d'inclinaison
est — i, puisque les composantes a et B de i ont été multipliées par =
p
fig. 3
Avant décentrement, la verticale instrumentale du point 0, rencontre le plan du
cliché en un point n' , aligné avec n etc, et tel que :
n'c=P