atrices E,
eS diverses
étendre au
coup plus
première
(s valeurs,
ondant de
3. CALCUL DES COORDONNEES DANS LE MODELE.
31. Matrice de rotation.
Les itérations sont arrêtées dès que AB», ..., Ar, sont, en valeur absolue, inférieures à
des limites fixées à l'avance. Au moyen des valeurs ainsi déterminées de r, , r., r;, on forme
la matrice K et, en divisant tous les éléments de cette dernière par (1 + r? + 73 + r2), d’après
(3), on forme la matrice de rotation R.
Dans le but de rapporter toutes les données au système (O' ; X, Y , Z), on transforme
d'abord toutes les observations du cliché x" (u, v, 1) par la rotation R, suivant les for-
mules (4), qui donnent (I, m, n).
32. Coordonnées.
Si M est le point d'intersection de deux rayons homologues, on a
O'M — Q'O" + O"M (40)
Si les images de M ont servi à l'orientation relative ci-dessus, cette relation est norma-
lement vérifiée, à l'approximation fixée au n° 31. Pour tout autre point, il subsistera en
général une parallaxe transversale, représentée dans le modèle par un vecteur p parallèle
à l'axe O'Y , de sorte que le point de modéle n'est pas unique : il y a un point M’ sur le
rayon issu de U’, et un point M" sur le rayon homologue issu de O", tel que M'M" — p
soit paralléle à O'Y , et (40) doit étre remplacée par
OM + WW = 007 + O7M” (41)
Les composantes de O’M’ sont proportionelles a (x,y, 1); celles de O”M” sont pro-
portionnelles à (/, m, n). Toutes ces composantes sont maintenant exprimées dans le sys-
téme (O'; X, Y, Z), de sorte qu'on obtient, par projection de la relation (41) sur ces
axes :
X AX =1 + ul, (42)
Ay + p=p + um, (43)
Z A = Ba + pn. (44)
De (42) et (44), on tire :
| | =
" (1 —5.x) Z — — (n — pil) (45)
Ó à
où
Sea rl (46)
On calcule enfin
X ZX 18e V1 dy 50. Va TP AM (47)
et la parallaxe résiduelle