Full text: Commissions III and IV (Part 5)

  
  
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62 LA COMPENSATION DES BLOCS DE BANDES, DISCUSSION 
as efficient as possible. There are block adjust- 
ment procedures which can give you a certain 
amount of accuracy, and they can give you high 
accuracy, but they may be very time consuming 
and also very costly. 
In considering the varying procedures of 
block adjustment we should never forget to 
consider the degree of efficiency a block ad- 
justment procedure has got to reach, the accu- 
racy it has to reach, but it should be done in a 
sufficiently short time and should not cost too 
much money. This is a statement from the 
practical standpoint. 
That is all I have to say for the moment. 
Monsieur G. DE MASSON D’AUTUME. Les 
procédés de la compensation des blocs qui ont 
été mis au point à l'Institut Géographique 
National sont décrits dans une publication qui 
a été distribuée à tous les congressistes. Il me 
parait donc inutile d'en donner ici le principe. 
Je voudrais seulement insister sur quelques 
particularités de ces méthodes, car il y a en 
effet deux méthodes — la premiére méthode est 
basée sur la considération des sections. Ce n'est 
donc pas une méthode rigoureuse. Elle vise à 
réduire au minimum les discordances entre les 
coordonnées des points communs à plusieurs 
sections. La compensation est conduite sépa- 
rément pour l'altimétrie et pour la planimé- 
trie. Ce programme comporte une particularité, 
c'est qu'il permet de déterminer et de corriger 
les déformations systématiques de chaque 
modéle. Les possibilités du programme sont 
très élevées puisqu’il n’est fait aucune hypothèse 
sur le nombre et la disposition des bandes, ni sur 
le nombre et la disposition des points de contrôle 
à l’intérieur des bandes. On peut l’appliquer 
pratiquement, tel qu’il est écrit actuellement, 
jusqu’à des blocs comportant 500 couples et 
1300 points au sol. Le programme permet 
également d’introduire des données statoscopi- 
ques. Le temps de calcul pour un bloc de 282 
couples, tel que celui qui a fait l'objet de l'essai 
contrólé, est d'environ trois heures. C'est donc 
une méthode plus rapide que n'importe quelle 
autre méthode. Les résultats — nous ne pouvons 
pas encore en parler puisqu'il a été décidé qu'ils 
ne seraient pas publiés au Congrès et que la dis- 
cussion des résultats serait reportée au mois de 
mars 1961. 
Une deuxième méthode a également été pro- 
grammée; cette méthode est basée sur la con- 
sidération des faisceaux perspectifs et c’est une 
méthode rigoureuse, qui d’ailleurs dans son 
principe est analogue à celle du Dr Schmid, 
d'ailleurs il n'y a pas 36 façons de poser le 
problème de manière rigoureuse — il faudrait 
dire que les faisceaux perspectifs tels qu’ils ont 
été mesurés concordent avec les faisceaux per- 
spectifs déduits des coordonnées compensées, 
et qu’en somme c’est la somme des carrés des 
erreurs de pointé sur les clichés qui doit être 
rendue minimum. Cette deuxième méthode, qui 
est également itérative, a donc été entièrement 
programmée mais n’a pas encore été essayée, 
Il faut remarquer que cette deuxième méthode 
ne peut pas être employée de but en blanc, elle 
doit faire suite à la précédente. Donc, après 
avoir obtenu un système de coordonnées très 
rapprochées, par une méthode non rigoureuse, 
on peut, si on le désire, faire une compensation 
finale, absolument correcte, par une méthode 
rigoureuse mais qui risque d’être assez longue et 
qui pratiquement augmentera peut-être l’homo- 
généité des résultats mais ne modifiera pas 
sensiblement leur précision. 
Professor FORSTNER: Meine Damen und 
Herren. Ich möchte hier nicht über eine 
Methode der Ausgleichung von Blöcken 
sprechen, sondern glaube, dass das Problem 
schon an der Wurzel etwas krank ist und zwar 
deshalb: wenn Sie eine Beobachtung oder eine 
Grösse bestimmen wollen, müssen Sie auch 
diese Grösse messen. Wir haben gestern schon 
gesehen, dass wir auch mit groben Fehlern zu 
rechnen haben. Es wird also gut sein, wir mes- 
sen die Grössen zweimal. Sollen sie noch etwas 
genauer sein, messen wir sie vielleicht vier Mal, 
und wenn wir statistische Untersuchungen 
machen, vielleicht zehn oder hundert Mal. 
Wenn wir nun diese Tatsache auf einen Block 
Ausgleichung anwenden, dann haben wir viel- 
leicht einen Streifen, sagen wir, mit zwanzig 
Bildern und zehn Streifen nebeneinander und 
kommen so auf etwa 200 Bilder. Für jedes Bild 
brauchen wir bekanntlich sechs Unbekannte. 
Das gäbe dann etwa 1200 Messungen, und wenn 
wir sie also etwas genauer messen wollen, sagen 
wir für jede Grösse vier Beobachtungen, kämen 
wir auf etwa 5.000 Beobachtungen. Wenn man 
nun aber hergeht und betrachtet davon die 
Folgebildanschlüsse, dann erhalten wir etwa ein 
Viertel dieser Beobachtungen. Es ist daher 
meines Erachtens kein Wunder, dass die Block- 
ausgleichungen so schlecht stimmen, so lange 
wir so wenig Beobachtungen haben als die 
Relation zwischen der Zahl der Unbekannten 
und der Zahl der Beobachtungen. Es gibt daher 
nach meiner Meinung nur die eine Möglichkeit, 
noch mehr Unbekannte hier einzuführen, bzw 
mehr Messungen zu machen. Wir haben bei der 
Streifenausgleichung den Folgebildanschluss 
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