Full text: Commissions III and IV (Part 5)

  
  
  
180 LACUNES DE LA RESTITUTION, DISCUSSION 
Aufenthalt der durch die Photogrammetrie ge- 
wonnene Vorteil nicht verloren geht. Das ist 
eigentlich das wichtigste Anliegen des Strassen- 
bauers zum Thema der Lücken, denn es gibt 
für ihn nichts Unangenehmeres als photogram- 
metrische und terrestrische Unterlagen, die in 
seinem Entwurf bezüglich der Lage, der Hóhe 
oder der Liefertermine nicht zu einander passen. 
— Das ist eigentlich alles, was ich zu diesem 
Thema zu sagen habe. 
Herr Dr HARRY: Ich habe eine Frage stellen 
wollen. Es handelt sich um die Aufnahmeliicken. 
Herr Dr Blaschke hat uns gesagt, dass sie, aus- 
gehend von photogrammetrisch ausgewerteten 
Anschlusspunkten, mit den klassischen, terres- 
trischen Methoden gemacht werden müssen. 
Die Datenverarbeitung beim Strassenbau, die 
photogrammetrisch erhaltenen Daten, die sind 
nicht üblich in einer Sprache, Zahlensprache, die 
weitgehend die Projektierungstechnik in diese 
Technik einbaut. Sind Sie nicht auch der Auf- 
fassung, dass die Aufnahmen, die gemacht wer- 
den nach den klassischen Methoden, Quer- 
profilaufnahmen, Längsprofilaufnahmen in der 
gleichen Sprache ausgedrückt werden müssen, 
d.h. dass also über alle Geländepunkte und 
Normalprofilpunkte die Koordinaten gegeben 
werden, so wie sie auch die Photogrammetrie 
gibt durch Transformation der Maschinenkoor- 
dinaten in Landeskoordinaten. 
Herr BLASCHKE: Die terrestrischen Eingabe- 
daten sind mit der Ausnahme, dass sie über- 
tragungsfehleranfällig oder übertragungsfehler- 
anfälliger sind als die photogrammetrischen 
Koordinaten, in gleiche Weise zu registrieren 
wie die photogrammetrischen Daten, und es 
wird auch so getan, aber ich darf hier vielleicht 
einem vielberufenen und auf diesem Gebiet 
schon sehr lange tátigen Herrn, Herrn Ternryd 
aus Stockholm das Wort geben, der uns sagen 
wird, soviel mir bekannt ist, dass die terrestri- 
sche Lückenvermessung in Schweden sogar also 
schon eigene Feldbücher hat, um diesen Über- 
tragungs- und Lochkarten oder Lochstreifen 
Rechnung zu tragen. 
Mr C. O. TERNRYD: In Sweden we have had 
a lot of problems with these things, but we have 
now found that we must take all these large 
amounts of data automatically from the ma- 
chines, and we must make the transformation 
also electronically, but we have also tried to 
take them by reading them in the machines with 
humans, but it was not possible because of the 
gross errors we then got. 
Professeur W. K. BACHMANN: Monsieur le 
Président, Messieurs, je crois qu’il faut, lorsque 
nous parlons de ces questions d’abord préciser 
un peu comment nous allons faire le travail. Il 
y a deux cas distincts — je pense donc à la con- 
struction des autoroutes. Alors je pense à l’utili- 
sation par exemple, de l’autographie, et vous 
pouvez alors là travailler avec le profiloscope. 
Au moment où vous sortez des profils vous 
êtes obligés de noter les distances et les altitudes, 
et après vous pouvez passer aux cartes perfo- 
rées ou aux bandes perforées, en utilisant par 
exemple un télescripteur. Si vous travaillez de 
cette façon vous pouvez, pour le complément 
des parties qui manquent sur le terrain, procéder 
par les méthodes classiques à des levés de profil 
en travers et ensuite également perforer les 
bandes, et vous avez alors une méthode unique 
pour la partie restituée à l’autographe et la 
partie complétée sur terrain. Donc, dans ce cas 
c’est facile et vous pouvez même, si vous voulez, 
éventuellement faire un relevé à la planchette, 
ensuite tirer les profils en travers et passer aux 
bandes numériques. Mais généralement ça ne 
se passera pas de cette façon en ce sens que, 
même si vous travaillez avec le profiloscope, 
vous avez meilleur temps à ce moment-là, d’en- 
registrer automatiquement non pas le profil mais 
les coordonnées et l’altitude de l’autographe. 
Tous les points des profils sont alors donnés par 
leurs coordonnées dans le système géodésique 
avec l’altitude et moyennant un programme de 
calcul, vous pouvez alors passer au calcul des 
masses. Mais cette méthode n’est plus utilisable 
pour les compléments parce que ceci serait trop 
long. Donc lorsqu’on utilise la méthode auto- 
matique, complément automatique pour l'appa- 
reil de restitution avec enregistrement des coor- 
données altitude, on est ensuite obligé à mon 
avis de passer à une autre méthode lorsqu'on 
procéde au complément, c'est à dire en utilisant 
de nouveau les profils en travers, mais sans 
passer par les coordonnées géodésiques. 
Mr C. KowaALCzyk: Those of us who had the 
opportunity to read and study the paper 
prepared by Dr Le Divelec certainly must agree 
that he has performed a very commendable 
service to photogrammetry by stating some of 
the most stimulating but unfortunately involved 
problems associated with mapping of aerial 
photographs. 
When photogrammetry was struggling for a 
foothold in topographic mapping, as would be 
expected the curiosity of many field topographic 
engineers was aroused by this new method of 
preparing maps. The reaction of field carto- 
  
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