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CARTES A PETITES ECHELLES, DISCUSSION 191
nahmen mit Weitwinkelkammern und einem
Basisverhältnis grôsser als eins, 21% bessere
Leistung gebracht hätten als Vertikalaufnahmen
mit der gleichen Kammer. Die Schwierigkeit mit
der Innenorientierung und der Filmschrumpfung
wurde zwar erwähnt, die sonstigen Schwierig-
keiten mit der Flugausführung und Betrachtung
und der Ausmessung blieben einstweilen unbe-
rücksichtigt. Ebenso der Überweitwinkel, wor-
auf Herr Prof Schermerhorn hingewiesen hat.
Man müsste also die Weitwinkelkonvergenz mit
dem Überweitwinkler vergleichen. Das kónnte
eventuell eine Zukunftsaufgabe sein, aber damit
stünden wir scheinbar in dieser Paneldiskussion
vor einem noch ungelósten Problem und müss-
ten bei unseren Empfehlungen wohl auch noch
an Konvergenzaufnahmen denken. Ich móchte
gleich eingangs diese scheinbare Diskrepanz be-
seitigen mit der meiner Ansicht nach berechtig-
ten Feststellung, dass wir ohne Rücksicht auf die
Art hier anzusetzender Versuche nur Vertikal-
aufnahmen in den Bereich der Empfehlungen
dieser Paneldiskussion einbeziehen sollten. Die
kleinmasstübliche Photogrammetrie über grosse
Flüchen ist in erster Linie ein organisatorisches
Problem, das nur mit den allereinfachsten Mit-
teln bewältigt werden kann, in unserem Fall mit
Senkrechtaufnahmen. Diese Feststellung sind
wir den Entwicklungslündern schon jetzt schul-
dig. Wir dürfen hier keine bleichen Kongress-
pflanzen züchten, die hóchstens geeignet sind,
da und dort einige Verwirrung zu stiften, an
denen aber die grosse Praxis achtlos vorüber
gehen wird. Wir dürfen hier nicht achtlos an der
organisatorischen Leistung bei der Kartierung
von mehr als zwanzig Millionen Quadratkilo-
metern der Karte 1 : 100.000 der Sowjet-Union
vorbeisehen. Man kann ruhig behaupten und
findet es in der russischen Literatur eindeutig
bestütigt, dass diese Leistung in erster Linie
dem 120? Überweitwinkler von Russionov und
der einheitlichen Disposition von Vertikalauf-
nahmen zu danken ist. Wir müssen also nicht
erst den nächsten Kongress abwarten, bis die
Konvergenzaufnahmen in der photogramme-
trischen Praxis noch toter sind als heute, son-
dern dürfen wir die zu kartierenden Entwick-
lungsländer mit gutem Gewissen Senkrecht-
aufnahmen allein auf Aufnahmeart empfehlen
und damit dem technischen und organisatori-
schen Ausgangspunkt für die weiteren Diskus-
sionen Empfehlungen schaffen. Nur diese Dis-
position halte ich für klarer, einfach, vernünftig
und auch für die Dauer erfolgversprechend.
Danke.
Monsieur M. E. BAussART: Merci Monsieur
Kasper. Le probléme ayant déjà été étudié par
un autre groupe de travail, je pense que nous
devons arréter là le débat. Je voulais simplement
ajouter qu'en ce qui concerne l'emploi des
chambres grand angulaires il a posé un autre
probléme quant à son exploitation. En effet, la
plupart des appareils classiques ne permettent
pas l'exploitation directe des clichés pris avec
des chambres super grand angulaires. C'est
pourquoi certaines maisons ont construit des
appareils spéciaux pour leur exploitation. Mais
je voudrais rappeler qu'il existe une méthode,
qui a d'ailleurs fait l'objet d'une communication
de l'IGN à la Commission II, méthode qui
utilise 'anamorphose et qui, par l'intermédiaire
d'un simple décentrement convenable des
clichés, permet l'exploitation sans déformation
du modéle à condition que les axes de prise de
vue soient verticaux.
Telles sont les idées générales à propos de la
prise de vue — maintenant je voudrais vous
demander de poser toutes questions qui vous
seraient utiles à ce propos. Puisque l'accord est
unanime nous passerons à la deuxième partie du
sujet, à savoir, la préparation — c'est à dire
l'établissement du canevas de points nécessaires
à la restitution. Là encore il convient de poser
les données du probléme — ces données sont les
suivantes: il n'y a pas de canevas géodésique
d'appui; deuxiémement, les tolérances plani-
métriques sont telles que le probléme de la
détermination planimétrique est facile à résou-
dre — il suffit d'utiliser des méthodes graphiques
ou mécaniques comme la triangulation à fente
radiale qui donnent une homogénéité et une
précision relative suffisante. Enfin, troisiéme-
ment, il s’agit de régions d’accès difficile et par
conséquent il faut avoir non seulement une
faible densité de points au sol, mais surtout il
faut que la méthode n'exige pas un emplacement
précis des points à déterminer, par exemple en
fonction de couverture aérienne.
La premiere idée qui vient à esprit est
évidemment la méthode d'aérotriangulation,
mais outre que nous n'avons pas voulu empiéter
sur le domaine de la commission III, la méthode
d’aérotriangulation présente un certain nombre
d'inconvénients, en ce sens que d'abord elle
exige des moyens importants, recours à des
calculatrices électroniques, immobilisation de
l'appareil pour le passage préable des clichés,
et elle entraîne par là même des délais supplé-
mentaires. Comme certains d'entre vous ont
également émis des réserves sur les progrès des
méthodes d'aérotriangulation, nous examinons
ici seulement les méthodes qui permettent un
établissement direct d'un canevas altimétrique.