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118 DISCUSSION ON PRESENTED PAPERS
Mr D. A. Francis: Perhaps I can elaborate
my question in replying to Mr Bousky. In the
Sudan we have had a lot of trouble with two
programmes of infra red photography with
different film but using the same equipment
which Mr Maruyasu is using. Mr Allen is not
here, he is head of the Sudan Air Survey Unit;
he has more information on this. We have used
the same film in the humid as in the dry part of
the Sudan. We do not have the trouble in the
dry part, which we find rather surprising, it is
in the humid part and trying to load the film
magazines. We have loaded them in Khartoum
and then loaded them in the dry parts. I wonder
if there is anyone here from the Belgian Congo;
[ believe they had trouble in the Congo.
Mr Swanson: We had the same trouble in
the Belgian Congo with static as is mentioned
here.
Mr S. Bouskv: I would be glad to discuss this
afterwards if you wish; I do not think we should
spend too much time on it. It is still a condition
of the film and a condition of camera at the time
it is used. It is due to friction, and it is not sur-
prising that it should be worse under the condi-
tion of dryness rather than moisture.
Mr R. G. MILLER: I was wanting to ask
whether infra red films is available on an anti-
static base or whether the Belgians have used an
antistatic base for their film.
Mr Swanson: It is supposed to be on an anti-
static base, but we on the Congo Survey have
not found that to be the case, even though it is
sold to us as that.
Mr W. FiscHER: With that, perhaps we can
pass to our next speaker.
Prof F. RUELLAN: La communication que
vous avez faite m’a beaucoup intéressé parce
que j'ai eu l'occasion moi aussi de faire, il y a
longtemps, de l'interprétation militaire. C'était
pendant la guerre de 1914/18 — vous voyez que
ca va trés loin. Depuis je ne me suis pas beau-
coup intéressé à l'interprétation militaire, mais
je me suis beaucoup intéressé à l'interprétation
pour la photogéologie, la photogéomorphologie
et la planification, et j'ai eu le méme probléme
du choix des interprétareurs qui pouvaient étre
employés et en méme temps de tests rapides
pour savoir qui pouvait travailler dans ce genre
d'interprétation. Eh bien, le procédé que j'ai
employé est un procédé moins analytique, mais
qui m'a donné en général de bons résultats, et
qui ne m'a pas donné beaucoup de déceptions.
Il consiste d'abord à faire travailler l'opérateur
en stéréoscopie en faisant noter les faits ob-
servés. Je divise la photographie de droite sui-
vant les coordonnées cartésiennes, en x et en y,
et je demande sur une feuille l'effet observé,
sans aucune identification — seulement voir
l'observation — et j'ai fait cette expérience avec
des gens de diverses provenances, des étudiants
sortant de l'enseignement secondaire, en France
ou au Brésil, oü j'ai eu l'occasion de travailler
pendant 16 ans — et j'ai fait ensuite la méme
expérience avec des spécialistes. Les résultats
sont extrémement curieux — ce n'est pas le spé-
cialiste qui donne toujours le bon résultat, parce
qu'il croit voir, parce qu'il ne voit pas réelle-
ment, il interpréte, et ca à mon point de vue, au
point de vue scientifique, c'est extrémement
dangereux. Après cette épreuve qui permet de
noter les champs, de noter les observations
faites, les faits observés, on peut essayer des
identifications. Même, l'identification alors
devient fonction de la connaissance du sujet —
s’il est militaire ou s’il a été entraîné à voir
certains objectifs ou s’il est ingénieur travaillant
pour des routes, etc. Et enfin alors, il y a un
autre sens — c’est celui de la connaissance et de
la mémoire du paysage. Ceci m’a donné égale-
ment de très bons résultats. Ça c’est pour la
photogéologie et pour la photogéomorphologie.
J’amène un sujet devant un paysage et je le fais
décrire, et ensuite ce test je l’utilise encore avec
la double projection. Vous savez qu’il y a un
appareil à l’Institut Géographique National qui
permet la double projection, et je peux par la
double projection avoir tout un groupe d’étu-
diants et voir dans quelle mesure ils sont capa-
bles d’observer et de coordonner les éléments
d'un paysage, et c'est avec ces éléments-là que
je choisis, que je fais le choix, en dehors bien
entendu, des tests stéréoscopiques classiques,
c'est à dire les tests d'accuité qui sont bien
connus et que nous faisons bien entendu.
Je voudrais revenir au texte méme de la
communication. Dans le texte de la communica-
tion, si j'ai bien compris, il est question d'identi-
fier des effets d'inondations en comparant les
résultats obtenus avec l’infra-rouge à ceux du
panchromatique. Or, dans les effets d'inonda-
tion, il n'y a pas que l'eau qui compte. Il y a un
problème extrêmement délicat, qui est le pro-
blème des graviers, le problème des sables, et
méme dans certains cas le probléme des vases.
Je serais heureux de savoir quelle est l'expé-
rience de l'orateur en ce qui concerne l'identifi-
cation des dégáts associés à l'inondation.
Mr W. FiscHER: Thank you, this is a lengthy
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