Full text: Commissions V, VI and VII (Part 6)

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ETUDE DE LA CIRCULATION, DISCUSSION 175 
bieren zu müssen, ob die Anlage wirklich so 
funktioniert, wie man sich das vorgestellt hat. 
Die Frage, die ich an Herrn — Monsieur — 
Dubuisson stellen môchte, ist folgende: Ist man 
in Paris so weit, Stummbelastungspläne für 
wenigstens Verkehrsknotenpunkte also eng be- 
grenzte Gebiete, welche mehr oder weniger als 
Engpässe des Verkehrs gelten kônnen, zu ge- 
winnen und warum wendet man die Photogram- 
metrie in der Weise an, dass man mit Bild- 
flugzeug und Luftbildkammer operiert? Wire 
es nicht naheliegend, mit einem Helicopter und 
einem Filmgerüt zu dem gleichen Ergebnis, 
vermutlich etwas billiger, zu kommen? Sind da- 
für Identifizierungsschwierigkeiten der Grund 
oder werden die Einrichtungen nur deshalb ver- 
wendet, weil sie eben für andere kartographische 
und ähnliche Zwecke vorhanden sind, — Das ist 
eigentlich alles, was ich fragen wollte. 
Monsieur B. DUBUISSON: Je puis vous répon- 
dre que déjà la Préfecture de Police de Paris 
utilise des hélicoptères, un hélicoptère, et aussi 
un avion bi-moteur léger pour l’étude de la cir- 
culation. La navigation en hélicoptère est sur 
les agglomérations limitée par les possibilités 
d'attérissage en autorotation. Ca veut dire que 
nous ne pouvons traverses une agglomération 
comme Paris en hélicoptère qu’au dessus des 
plan d’eau. Nous avons la Seine qui fait des 
zigzags, nous sommes favorisés, d’accord, mais 
nous avons aussi quelques canaux qui permet- 
tent des accès d’hélicoptère. Mais ce n'est pas 
une solution d’ordre général. Par contre, un bi- 
moteur léger a été utilisé par la Police qui a 
fait des photographies obliques et du cinéma. 
Je pense que les informations qui en ont été 
tirées étaient plutót d'ordre subjectif que d'ordre 
métrique. Elles rejoignaient d'autres informa- 
tions rapportées par les agents de la circulation 
au sol, pour former une coordination de ren- 
seignements, mais je pense sur le plan du ren- 
seignement et non sur celui de la mesure des 
débits, mesure des vitesses ou une analyse 
d'ordre, je dirais pseudo-mathématique, telle 
que celle que nous vous avons présentée qui 
n'est qu'au stade expérimental et qui par ailleurs 
en dehors de quelques villes de province n'a 
pas été développée pour des raisons justement 
de personnel. Il est nécessaire de passer un 
certain temps pour identifier les véhicules, mais 
il n’y a aucun cas dans lequel les véhicules 
n'aient pu étre rejoints d'un cliché sur l'autre. 
On y parvient toujours. Il est incontestable que 
c'est un travail artisanal assez long, mon Dieu, 
nous n'avons pas encore eu d'autre solution. 
Merci. 
Mr C. G. CoLEMAN: I would like to make, 
first, a comment relative to the points which 
have been raised about the limitation of this 
method. It seems to me, the procedure having 
been demonstrated, that even in a localised area 
or a small portion of the city this kind of data 
can be derived. The problem of determining the 
total pattern flow from origin to destination 
would seem to be rather a matter of extension. 
If, for example, it would be economical or pos- 
sible to cover the entire city at one hour inter- 
vals — the influx roads including the centre of 
the city as well — it would seem one could fairly 
rapidly develop the same type of information, 
or at least the number of vehicles moving in 
which directions at which time. 
I would also like to ask a question of more 
intensive approach: whether you had done any- 
thing on the further identification of types of 
traffic. It is a matter of curiosity, but I was 
thinking of the identification of buses, taxi cabs 
and even, if your scale of photography is large 
enough, some indication of the size of the 
queues of people waiting at bus stops. Is this 
type of information readily derivable from your 
photography? 
Monsieur B. DUBUISSON: Nous tombons là 
sur des informations qui sont vraiment à recueil- 
lir au sol, et que bien sûr nous avons une grande 
précision dans le décompte que je vous ai ex- 
posé, mais nous n’avons aucun renseignement 
sur les destinations. Ce décompte est exact de 
façon absolue parce que nos prises de vue se 
font à une cadence qui est de l’ordre de 2 ou 3 
secondes, et on ne perd pas une 4 CV au milieu 
de 20 4 CV dans l’espace de 3 secondes — on 
la retrouve toujours, l’autobus aussi bien enten- 
du. On ne voit pas très bien sa destination, bien 
sûr aussi. Je crois que là il y a une combinaison 
oü nous nous retrouvons toujours sur le même 
problème, c’est celui d’un appui, d’une aide 
apportée par cette photointerprétation à d’au- 
tres moyens, — savoir si l’un appuie l’autre est 
au service de l’un, c’est un autre problème. Je 
crois qu'actuellement il y a un groupe d'infor- 
mation que nous venons d'étudier est vraiment 
l'un des points majeurs. Maintenant, il ne peut 
pas étre le seul. 
The CHAIRMAN: I see our time is up. We are 
very appreciative of the interest which you have 
shown and if you would like to discuss some of 
these questions further we would again ask you 
to join us in Room 381 at the Institute of 
Education at 13.30. 
 
	        
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