28 -3k
a = —2 (5.a)
10e-12k
2
p. LE 6 (5.b)
10e -12k
2
C= A é (5.c)
10€-12k
Ainsi, nous exprimons les coefficients du
trinôme en fonction des caractéristiques de la
distribution et, par conséquent, des moments de la
distribution.
1.2 Solutions de l'équation différentielle de
K.Pearson
1.2.1 Racines réelles de signe opposé.
Soient XX, les racines du trinôme. Apres
un changement d'origine, l'E.D.P. s'ecrit :
Sp... prep. a
y a(x+x, )(x-x,) :
Pour intégrer cette équation différentielle,
nous introduisons la nouvelle variable z = x+b et
les racines du nouveau trinóme n = x,-b et
r,-x *b. De cette facon, X+X, = Z+I., X-X 97 2-1,
et dz - dx. L'équation différentielle s'écrit :
A ET (2)
a(z*r, )(z-r, )
En intégrant sur le domaine de définition de
la variable z, nous avons :
“vr,
(3)
ou ve —
a
L'équation (3) caractérise les différents
types de distributions qui appartiennent a la
famille des distributions issue des racines
réelles du trinôme de l'équation de K. Pearson.
Ceux-ci sont différenciés en fonction des valeurs
des exposants -Vr, et TUE. Nous remarquons que la
valeur limite inférieure pour les deux exposants
I,
z
est -1; sinon l'intégrale | ydz ne convergerait
-r
1
pas.
D'après l'étude faite par K. Pearson,
1'intervalle entre les deux racines -r, et r,
"r «z« r est considéré comme le domaine de
définition de la variable z (par conséquent pour
la variable initiale x nous avons -X Xxx, ).
Après avoir effectué le changement de
variable z = x + b les nouvelles racines "T, et r,
ne sont pas obligatoirement de signe opposé.
Trois cas principaux sont à distinguer (notés I,
II et III).
I. Les nouvelles racines 7r, et r, sont
toutes les deux négatives : =r, <r, < 0.
L'équation (3) s'écrit :
-vr -VY
i zu Gem) Jm) ^ (4)
y=y = =
o n vr, T"
La constante d'intégration se calcule à l'aide
r
2
de la contrainte : } y dz - 1.
-r
1
Elle est égale à :
vir * fo-i
(r tr ) Iz
1 2 1
y_=
o vr vr
r+ (=r) 2
1 2
(5)
B (1-vr,, 1-vr, )
Pour les exposants VE, et TV, les cas
suivants se distinguent (ils sont codés par les
chiffres italiques 1,2,3,..):
-1<-ur, <0 et 0<-vr_<1 ra nee cas 1
-1<-vr, <0 et -vr,>1 62.02... 27... cas 2
-1«-vr,«0 et O«-vr, «1 0 er cas 3
-1<-vr_<0 et -vr,>1 sasestesieeesecosne cas 4
II. Les nouvelles racines -r, et r, sont de
signe ‘opposé : -r, 4 0, r, 0.
L'équation (3) s'écrit :
1 T ZN
o "rM (zr, ) (n-z ) (6)
ri r
En effectuant les même transformation de
variable que précedement nous trouvons la
constante d'intégration :
y-y
Tm ?-1
( r, + r, )
o vr vr, B ( 1-vr,, 1-vr, )
(7)
Pour les exposants "VE et -Vr, les cas
suivants se distinguent:
Cd <vr < 0 et -i «vr«0..........-- cas 5
0 <-vr, < J et Q0 «-vr,«4 d. lreceiecose cas 6
Ü «-vr« 1- et TE 1l............... cas 7
"Io 1 et 9 a ees. cas 8
- 1 et V ksi nnn see cas 9
III. Les nouvelles racines -T, et r, sont
positives et de même signe ; l'expression (3)
s'écrit :
vtr + r 3-1
{r + x ) 1. f -vr -vr
1 2 2 2
(z*r,) (r,-z)
YS T =
B (1 vr, , 1 vr, )
Les différents cas possibles pour les
exposants -vr, et VI, coincident avec ceux du
eu Pm Ld em PS ba Ol