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6. LA METHODE PAPRICA
6.1 La méthode
PAPRICA (PAysages a PRIori à Correction
Assistée) est une synthèse des méthodes
PAPRI et PAPOS. Loin de supprimer
l'intervention du thématicien, elle est
destinée à lui offrir une assistance
maximale dans sa démarche d'analyse des
paysages sur une image. Elle consiste à
appliquer d'abord PAPOS pour isoler les
noyaux durs sur l'image classée, puis à
les proposer au thématicien pour qu'il
choisisse ses polygones de
caractérisation, avant d'appliquer PAPRI.
Ici PAPRI est en outre enrichi d'un
processus de "backtracking" (retour
arrière) à l'étape de définition des
polygones si le résultat des paysages
n'est pas jugé satisfaisant.
PAPRICA, structure générale
Choix normal des
régions tests
Composition des
vecteurs paysages
Image des Image des Image des
tailles de fenéme distances paysages
tt
Synthése automadque
pour proposer des
régions de référence
Image des
tailles de
fenetre
Image des
distances
Synthèse automadque
pour proposer des
régions de référence
FIGURE 10
Paprica, structure générale
6.2 Application
FIGURE 11
Application de la version simplifiée de
PAPRICA à l'image de la figure 3
La figure 11 nous montre l'application de
PAPRICA a la figure 3. Nous constatons un
morcellement plus important, dû en partie
à un choix hétérogène des échelles
préférentielles des paysages et à la non
utilisation du backtracking dans cet
exemple-1là.
6.3 Conclusion
La méthode présentée autorise une
interprétation des images plus rapide et
plus objective que celles qui existent
aujourd'hui. Elle n'est pas entiérement
automatique car il nous paraît important
de laisser à l'expert la possibilité de
définir des aires de référence, en
fonction de sa thématique et de l'échelle
des phénomènes qui l'intéressent. Nous
avons essayé de développer une méthode de
segmentation qui réunisse les avantages
des méthodes automatiques et des méthodes
supervisées, tout en minimisant les
inconvénients.
7. LIMITES DES METHODES
Les méthodes présentées ici sont une
combinaison de processus humains et
automatiques. Cependant les processus
automatiques sont toujours soumis au
contróle de l'expert, chose essentielle
pour répondre vraiment aux objectifs
fixés. Actuellement les limites sont
surtout liées à la définition des
paramètres descripteurs de paysages par
l'expert, en particulier l'échelie
préférentielle et le seuil de rejet. La
composition des paysages est assez facile
à estimer. Nous pouvons espérer obtenir
une bonne adéquation des méthodes aux
besoins, grâce à une implémentation
conviviale du backtracking et à une
réduction des temps de calcul.
Ces méthodes donnent de bons résultats
dans tous les cas où les paysages se
caractérisent plus de manière statistique
que morphologique. Il faut désormais
développer un outil qui intègre la
dimension morphologique dans l'analyse
des paysages, dimension peu importante
c'est vrai pour la majorité des cas mais
qui intervient parfois pour certains
types de paysages.
8. CONCLUSION
L'analyse de texture telle que nous
l'avons définie sur une image classée,
permet d'y cartographier précisément les
unités de paysage, moyennant ainsi que
nous l'avons vu, un bon intervalle de
variation des tailles de fenêtre.
La recherche se poursuit pour une
integration complète des différentes
methodes exposées et pour une assistance
encore accrue de certaines phases. Par
exemple, quel est l'impact d'une
classification semi-automatique ou
automatique sur la reconnaissance des