ir la
l'on
les
des
leur
urce
ison
e de
tain,
‘uler
tion
tage
tain.
|Sses
les
eurs
ques
nme
pose
une
une
des
de
ulle,
une
tres
nce
asse
uum
que
ités,
un,
uée
s ce
ırce
corréspondante sont sans effet et ne contribuent en
rien à la prise de décision.
Si on considére que l'on dispose de n classes et que
les mesures de vraisemblance sont des probabilités,
alors ce cas serait représenté par:
P(x/Ci) =1/n V i.
Ces deux cas de figures peuvent étre shématisés par :
joi
m X
i Xi Degrés de
2Xj ji vraisemblance
(n-1) ^
(Barycentre)
Séparabilité inter-classes maximale
"Incertain minimal"
Séparabilité
inter- classes
minimale,
"Confusion"
—
Degres de
vraisemblance
"Incertain maximal"
A partir de ces valeurs extrémes, les valeurs
intermédiaires de l'incertain, seront calculées pour
des situations intermédiaires corréspondantes. On
rappelle que les définitions données plus haut, ne
sont valables que si les classes sont mutuellement
exclusives.
Le probléme de séparabilité ou de concentration des
mesures de croyances, a été soulevé par
Sandri[Sandri91] sous le titre d'equi-répartition des
croyances. : ;
Sandri fait remarquer dans sa thèse la différence qui
existe entre l'equi-répartition des croyances et celle
de l'ignorance totale, dont voici les définitions,
soit Q, un référentiel,
A: un sous ensemble du référentiel ©
g(A): un nombre réel, permettant de quantifier la
confiance qu'a la source en l'occurrence de
l'événement A.
L'ignorance
l'état d'ignorance d'une source par rapport à un
événement, est caractérisé par la seule croyance que
Q est certain et @ est impossible, et l'absence de tout
autre événement. Tout ce que l'on sait, est que la
croyance est entre 0 et 1. L'ignorance se caractérise
par la certitude que tout autre événement différent
de © est égale à 0. Le raisonnement avec cette
hypothèse est appelé par certains auteurs
raisonnement avec les hypothèses du monde
fermé" [Smets88] .
Dans la théorie des croyances, l'ignorance est
917
modélisé par :
Bel(Q) = 1 et Bel(A) = 0 V Az Q.
L'equi-répartition des croyances
Cet état est caractérisé par une croyance uniforme de
la source en tous les éléments du référentiel :
gop) =kVoe Q
l'equi-répartition des croyances exprime l'absence
d'informativité d'une source, cet état inclut l'état
d'ignorance. La prise de décision est pratiquement
impossible, concernant la véracité d'un événement.
En termes de probabilités, l'equi-répartition des
croyances est réalisée par une distribution de
probabilité, telle que p(o)=1/ |Q| Voe Q.
En théorie des croyances, l'equi-répartition est
représentée par:
Voe 2, Pl({0})k, k=1/| 2 |
La remarque, qui peut être faite ici, est que la théorie
des croyances, permet de représenter et distinguer
entre les deux états (ignorance, et equi-répartition
des croyances), tandis que la théorie des probabilités,
ne peut représenter que l'equi-répartition des
crovances.
Afin d'appliquer la règle de Dempster, l'incertain
peut être calculé en se basant sur ces définitions, où
au départ, il s'agira de calculer les degrés de
réalisation des différentes classes, par une méthode
classique probabiliste (Pr e [0,1]) , géométrique
(Diste R*) ou bien par une autre méthode
quelconque donnant par exemple des facteurs de
certitudes . (CF € [-1 +1] dans le système expert
MYCIN).
Si on suppose que les mesures de vraisemblances
sont représentées par des probabilités, l'estimation
de l'incertain se réalise de la manière suivante:
Pour un point, les probabilités d'appartenir aux n
classes «x1,x2,....,Xn» sont
<p1,p2,.…,pn>, Ospjs1 V j=1,n
On calcule la séparabilité par la formule :
1 n
=
ji
pi=Max pj, j=1,n
l'incertain m(0) est donnée par m(6) = 1-Sep.
Si la séparabilité est maximale c'est a dire égale a 1,
alors l'incertain est nul, par contre si la séparabilité
est nulle, alors l'incertain est maximal, c'est à dire
égal à 1.
Le vecteur de masse X , aura une composante
supplémentaire qui correspondra au cas incertain ou
bien à la classe résiduelle, pour laquelle on affecte le
reste de l'information.
m«X,X,..,X,0» avec m(x ), m(8) e [0,1]
on peut facilement construire à partir du vecteur X,
le nouveau vecteur de masse m'(X) tel que
mO9-m(«x,x,..,X,0») avec 2m (x) +m @)= 1
A partir de ce vecteur, on calcule les quantités
correspondant à la crédibilité et à la plausibilité,
pour ainsi pouvoir prendre une décision, pour
l'affectation du point à la classe la plus proche.
On peut aussi introduire la fiabilité des sources dans
la méme formule calculant l'incertain.
On suppose qu'on soit dans le cas où on a_ une idée
sur l'ordre d'importance des sources dans le