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contrôle, les méthodes, etc.; réglementer les conditions d'expéri- 
mentation; définir des éprouvettes standards par adoption de. la loi 
de similitude L—\/ 66,67 S; définir la limite élastique avec une 
tolérance de a comme limite de la longueur résiduelle, etc.; 
2° Unification de forme. — Adopter la progression géométrique 
dont la raison serait !° \/ 10, pour la série principale internationale. 
Cette série, dite du colonel Renard, se rapprocherait des séries obtenues 
avec les mesures anglaises. Les multiples par 2 et les sous-multiples 
de pouces sont en concordance avec la série principale de la 
progression Renard, savoir : 
Série principale 
4 pouces 101,6 100 
2» 50,8 50 
1 pouce 25,4 25 
172 » 12,7 12,5 
1/4 » 6,35 6,3 
1/8 » 347 2189 
1/16 » 1,59 1,6 
1/33.» 0,794 0,8 
1/64 » 0,397 0,4 
L’allongement est certainement une des principales caractéristiques 
de classification. des matériaux, et c’est précisément une des moins 
bien définies à l'heure actuelle. 
Dans les aciers et les alliages légers à haute résistance (duralumins) 
principalement cette caractéristique est d’une importance considé- 
rable pour l’aviation, car le manque d’allongement rend les pièces 
fragiles et dangereuses. Les vibrations et les chocs ne peuvent être 
combattus que par le bon allongement, c’est-à-dire par une bonne 
élasticité de la matière. 
Mesure de l’allongement. — Par convention l’allongement se déter- 
mine généralement après rupture de l’éprouvette, c’est-à-dire en 
mesurant un allongement résiduel. Pour cela on trace sur l’éprouvette, 
avant l’essai, des repères espacés de la longueur L que l’on compare 
avec la nouvelle longueur après rupture devenue L’. On évalue cette 
différence en pour cent. 
   
   
   
  
  
  
  
  
   
   
   
   
    
   
  
    
   
  
  
  
  
  
  
   
  
  
  
  
   
   
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