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CONSTRUCTION DES AVIÜN& 189
L'aliage NO. 119 f (suisse);
o Y. (anglais);
— NO. 12 (américain);
v allemand.
L'alliage suisse NO. 119 semble donner des résultats très satisfai-
sants. Malheureusement tous ces alliages sont très attaquables par
les agents atmosphériques et il ne pourrait être question de les em-
ployer pour des pièces vitales de l’avion.
Magnésium. — Employé pour des petites pièces coulées, tournées
ou estampées. Le magnésium est encore beaucoup plus léger que
l’aluminium et offre dans certains cas des qualités de résistance suf-
fisantes. En masse d’un certain volume, il est à peu près ininflam-
mable, sauf en cas d’incendies graves.
Divers autres métaux et alliages ont été essayés sans grand succès.
Les principaux métaux pour l’aviation restent toujours l’acier et le
duralumin.
Méthodes de constructions métalliques. — Méthodes françaises. —
En France, la construction métallique est de plus en plus employée
pour la structure interne des avions. Sauf de rares exceptions, le
revêtement des ailes et du fuselage se fait encore au moyen de toiles
organiques.
La méthode la plus employée (Bréguet, Dewoitine) fait usage prin-
cipalement de tubes assemblés au moyen de ferrures en acier ma-
tricées.
La construction métallique française envisage surtout la construc-
tion en grande série. La plupart des pièces sont estampées au moyen
de matrices coûteuses. Pour la construction de ces avions, un capital
considérable est nécessaire pour l’outillage seul. De plus, le revête-
ment en toile fait perdre une grande partie du bénéfice de la cons-
truction métallique.
Disons cependant que ces avions, tels que le Bréguet 79-42 ou le
Dewoitine, sont des merveilles de construction métallique.
Méthodes allemandes. — En Allemagne, deux grands courants se
font opposition. Le premier, dirigé par Junkers consiste en l’emploi
d’ossatures en tubes d’acier assemblés au moyen de soudure autogène