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CONSTRUCTION DES AVIONS ACTUELS 239
place en place à l’intérieur par des cercles montés avec des rayons
comme des roues de bicycleites, ou dans le Spad.
Le fuselage est muni à l’avant de tôles de support de moteur et, à la
hauteur des ailes, d’un bâti résistant à l'effort de compression des
longerons. Les moteurs à cylindres en étoile sont fixés sur des. tóles
ajourées, soit en porte-à-faux, soit entre deux plaques Les moteurs
en V verticaux reposent sur un châssis horizontal comme dans les
autos.
L’habillage est indispensable pour faciliter l'écoulement des filets.
d'air pendant le vol, car il faut éviter de former des surfaces de
dérive nuisibles, soit
en ayant trop de surface verticale. à l'avant,
ce qui nuit à la stabilité, soit à l’arrière ce qui empéche l'appareil de :
virer et rend l'avion trop sensible à l'action des vents latéraux. C’est
pourquoi les fuselages doivent être carénés
à l’avant, le moteur étant
disposé quelquefois d
ans un capot ajouré pour faciliter son refroidis-
sement. Ils doivent, en outre répondre
sécurité et de confort, et c'est pourquoi on
transparent de maniére que le pilot
à certaines conditions de
les munit d'un pare-brise
ie ne soit pas incommodé par le
vent résultant du mouvement de l’hélice et de
la vitesse de dépla-
cement. Dans les gros avions de ir
ansport, tels que les Goliath, la
cabine est un vaste salon pourvu de sièges
et le pilote occupe une estrade
l’avant.
mobiles en rotin léger,
surélevée au centre, d’où il domine
Le train d’atterrissac e. — Le fuselage est muni d’un châssis qui a
t Le,
un triple róle : celui de soutenir l'avion à une 'certaine distance au-
dessus du sol pour éviter que. les pales dé l'hélice ne viennent toucher
le sol, rouler au départ et, à l’arrivée absorber la force vive. emma-
gasinée pendant le vol et dont l’appareil est animé.
Trois points d’appui sont nécessaires pour supporter l’avion à terre,
‘arrière se soulève, il n’est pas
indispensable que le troisième point d'appui
mais comme, dés la mise en route, ]
, Celui d’arrière, soit une
roue. On emploie donc généralement une béquille ou crosse en bois,
articulée sur le fuselage, et dont les déplacements sont freinés par
un enroulement de sandow. Le châssis a pour rôle de répartir égale-
ment les efforts sur toute la masse de l’appareil. Il doit, en quelque
sorte, se mouler sur le terrain parcouru en roulant, malgré les inéga-