300 AVIATION
gasinée et de l'inertie et elle joue le róle d'un frein puissant retar-
dant la descente de l'avion qui peut s’opérer presque verticalement.
Cest donc une solution heureuse du problème de l'atterrissage, mais
Fic. 105. — L'autogyre (élévation).
le décollage est plus difficile en ‘raison de la résistance opposée par
l’hélice au moment du démarrage.
Firg. 106. — Le méme vu en plan.
Le vent de cóté n'a presque pas d'influence sur cet avion à hélice-
frein, ce qui empêche la dérive, et la charge utile peut être sensible-
ment augmentée, ce qui est un sérieux avantage. Il est à remarquer
que l’appareil présente une très bonne tenue en vol, et toute perte