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a) Contrôle sur stéréominute brute : il s'agissait en somme de ne tester que la restitution photo-
grammétrique. Il a été utilisé 8 points d'appui et 15 points de contrôle, numérisés sous stéréo-
comparateur ('coordonnées-photo') et sur stéréominute ('coordonnées-carte'').
2 m en moyenne
; :
Ecarts sur points d'appui [o ni desir)
Relévement sur 8 points
Ecarts sur points de
contróle
6 m en moyenne
(10 m maximum)
0,8 m en moyenne
; i :
Ecarts sur points d'appui (1; Gmioqmasdymitu)
Relévement sur 5 points Ecarts Sur points do
6 rn en moyenne
contrôle y
Le deuxième relèvement a été opéré en éliminant trois points d'appui supposés mauvais
parmi les 8 points d'appui du premier relèvement. On améliore ainsi la cohérence du relèvement,
mais pas celle des points de contrôle. Il semble donc y avoir des défauts d'homogénéité dans la
restitution ancienne.
b) Contrôle sur stéréominute nette : six points d'appui et sept points de contrôle ont été utilisés.
Leur nombre restreint provient de la difficulté d'identifier sur la stéréominute nette des points
laissés en place par la mise au net. Celle-ci était donc du même coup contrôlée.
2m en moyenne
: i ;
Ecarts sur points d'appui (6 In maximum)
Relevement sur 6 points
Ecarts sur points de
contröle
8 m en moyenne
(9 m maximum)
0,3 m en moyenne
. : ;
Ecarts sur points d'appui (0, 5 m maximum)
Relèvement sur 4 points Ecaris sur points de
contróle 7 m en moyenne
Là encore, le dernier calcul (obtenu en éliminant 2 points d'appui supposés mauvais)
améliore grandement le relèvement, mais pas le contrôle. Deux relèvements par zone ont été
également effectués, en utilisant comme points d'appui certains points de contrôle appartenant
à la zone. Les relèvements ont donné comme écarts des quantités de l'ordre de 4 m, ce qui con-
firme leur incohérence. Les résultats sont donc sensiblement voisins de ceux du contrôle sur
stéréominute brute. :
En conclusion, on peut donc dire que des défauts assez importants d'homogénéité dans
la restitution photogrammétrique ancienne de Bourges ont été décelés. L'investigation n'a pas
été poussée plus loin pour trouver leur origine précise, probablement de mauvais raccords entre
couples, eux-mêmes peut-être mal mis en place. La méthode de contrôle paraît correcte en tout
cas, comme le prouvent les résultats obtenus sur Charlieu.
Il y a lieu de signaler, de plus, que de nombreux points (déterminés par complètement
topographique) ont été aussi calculés après numérisation sous comparateur au moyen des relève-
ments précédents. Les écarts obtenus ont atteint parfois des valeurs élevées (10-15 m). I1 s'est
alors avéré que certaines erreurs avaient été manifestement commises par le topographe, qui
s'était contenté de compléter par photo- identification.
On voit donc que la méthode de contrôle décrite ci-dessus permet de contrôler à la fois :
- la restitution photogrammétrique
- la photo-identification (utilisée pour la mise au net)
- le complètement topographique.
Elle pourrait également s'appliquer à la rédaction cartographique, et donner ainsi une idée de la
dégradation relative due aux trois opérations situées.en aval de la restitution photogrammétrique.
Cette possibilité a paru assez intéressante pour être signalée ici.
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