se aux
ictéris-
s d'opé-
:héma
'rvention
technique
estion)
ions plus
islation
e disposer
sans
S pro-
ance la
ntrôlées
conven-
ions. La
iotogram .-
> des
]tat atteint
a estimé
gne carte -
ixée pour
imale
S opéra-
point,
e des
hotogram-
n met en
oujours
x échelles
our les
sulte d'un
| rédigé
ombardi,
une
olonels
dilleri,
compromis, dans la formation duquel sont évidemment intervenus, entre autres, certains facteurs
économiques et pratiques.
La représentation altimétrique du relief du sol, obtenue par les points cotés isolés et par
les courbes de niveau, doit se conformer à son tour aux prescriptions suivantes :
Si l'on met en évidence par des mesures de haute précision, l'erreur maximale (ou
tolérance) dQ qui peut affecter l'altitude d'un point bien localisé et identifiable sur le terrain, on
doit toujours avoir :
dQ « 1,80 m pour l'échelle de 1:10 000
dO < 1,20 m pour l'échelle de 1: 5000
dQ <€ 0,60 m pour l'échelle de 1: 2000
dQ « 0,40 m pour l'échelle de 1: 1 000
>
Pour des raisons identiques à celles déjà signalées pour la planimétrie, les différences
de niveau AQ entre tel et tel point de la carte doivent respecter des sujétions de précision qui
sont fonction de la distance réciproque. L'erreur maximale (ou tolérance) d A Q qui peut affecter
la différence de niveau entre des points du terrain situés à la distance D - erreur mise en évidence
par des mesures de haute précision - est fixée par l'expression suivante :
dA! o (T D m pour D '< Do
Q « ( Tad p S
Do
dA SAT ZZ 3 m pour D Do
Qi «(TA 7500 p »
Les valeurs de T et Do sont ainsi fixées en regard des différentes échelles :
q = 1,90 m, Do = 600 m pour l'échelle de 1:10 000
TE
T
1,30.m, Do = 400 m pour l'échelle de 1: 5000
0,60 m, Do
Il
Il
300m pour l'échelle de 1: 2000
T = 0,40 m, Do = 200 m pour l'échelle de 1: 1 000
Le choix des valeurs des différents paramètres résulte, ici encore, d'un compromis entre
plusieurs éléments théoriques et pratiques, principalement suggérés par l'expérience.
La sélection des normes destinées à établir le degré de précision des courbes de niveau
a été précédée de longues discussions, accompagnées d'une consultation bibliographique attentive
et de quelques expérimentations d'envergure limitée. En définitive, et bien que cette décision se
soit révélée, dans une certaine mesure, contraire au contenu habituel des normes actuellement
en vigueur dans plusieurs pays, il a été estimé opportun de fixer une tolérance unique pour les
courbes de niveau - indépendamment, par conséquent, de la pente moyenne du terrain (toute dé-
pendance en pareil sens ayant semblé en effet injustifiée en cas de courbes de niveau obtenues par
voie photogrammétrique). En outre, aux fins d'un contrôle plus commode lors des essais de ré-
ception, il a été jugé plus pratique de fixer la tolérance en élévation plutôt qu'en planimétrie pour
les points appartenant aux courbes de niveau.
Soit Qp l'altitude réelle, évaluée par des opérations suffisamment précises pour un point
P qui appartient, sur la carte, à la courbe de niveau à altitude entière Q,. La différence
dQ = Qr. - Qp doit satisfaire à l'expression suivante :
dO «' 3,50 m pour l'échelle de 1:10 000
dQ < 2,20 m pour l'échélle de 1: 5000
dQ < 0,90 m pour l'échelle de 1: 2000
dQ < 0,60 m pour l'échelle de 1: 1000
Après avoir établi, en fixant les valeurs ci-dessus des tolérances, la précision du con-
tenu métrique des cartes aux différentes échelles, le cahier des charges analyse les modalités
d'exécution et les phases du travail, et fixe pour chaque phase les conditions d'acceptabilité du
travail exécuté. Des conditions d'acceptabilité sont établies en ce qui concerne en premier lieu
= 25 —