les vols photogrammétriques,en second lieu les réseaux géodésiques d'encadrement et d'épaissis-
sement, la détermination des points photographiques d'appui, la restitution photogrammétrique, la
reconnaissance sur le terrain, le dessin et la préparation de l'impression. Chacune de ces ques-
tions est traitée dans un chapitre particulier qui établit, si nécessaire, les tolérances à respecter
au cours des différentes opérations.
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Le dernier chapitre de la partie technique du projet de cahier des charges d'adjudication
est consacré aux essais de réception. Il vaut la peine de réserver quelques considérations supplé-
mentaires à ce chapitre, vu son importance technique générale et les critéres d'opération qu'il
introduit formellement pour la premiére fois dans la procédure méthodologique italienne en cette
matière.
Il est décrété, en premier lieu, que les essais doivent se dérouler au cours de la réali-
sation du travail, car il est confirmé qu'un essai purement terminal, sur le produit fini, ne peut
donner aucune garantie suffisante de travail valable, à moins que l'essai lui-même ne soit effectué
au prix d'un sacrifice financier très élevé.
Chaque phase des opérations doit être contrôlée séparément. Il sera interdit de donner
cours à la phase suivante si la précédente n'a pas été contrôlée et approuvée. L'essai de récep-
tion se base sur le principe de l'échantillon" suivant une procédure simpliste, conforme aux cri-
tères du "'contrôle de qualité”.
Le premier contrôle sera effectué sur le matériel photographique et sur le vol photogram-
métrique. Cela impose une série de vérifications qualitatives et quantitatives sur la qualité de
l'image et sur la géométrie de la prise de vues.
Le contrôle du réseau géodésique d'encadrement, des réseaux d'épaississement et de la
détermination des points d'appui est principalement effectué sur les documents concernant les
mesures et les calculs. Il devra résulter de ces documents que toutes les déterminations doivent
avoir été accomplies par des opérations susceptibles de permettre des contrôles intrinsèques, sta-
tistiquement significatifs, des mesures effectuées ; il devra également résulter qu'on peut tirer
des calculs une évaluation particulière ou globale de la précision de chacun des éléments obtenus,
et que cette précision est conforme aux prescriptions.
Le préposé aux essais n'est tenu de procéder à des contrôles directs sur le terrain que
dans certains cas exceptionnels, c'est-à-dire lorsque la documentation est insuffisante. Ces mêmes
prescriptions s'appliquent - compte tenu des stipulations particulières du cahier des charges - au
cas où les points d'appui sont obtenus par triangulation aérienne (uniquement pour la cartographie
technique aux échelles de 1:10 000 et 1:5 000).
Le contróle des opérations de restitution photogrammétrique consiste à examiner les
documents relatifs à l'état de rectification des instruments et des fiches rédigées pour chaque
couple stéréoscopique restitué, à exécuter des reconnaissances sur les lieux d'opération afin de
contrôler le respect des conditions prescrites, à répéter l'orientation d'au moins 10 % des cou-
ples stéréoscopiques et la restitution, dans chaque couple, d'au moins 100 détails planimétriques.
bien définis et d'autant de points en élévation, situés dans différentes zones du modéle stéréosco-
pique. L'écart entre la restitution originale et la restitution de contrôle ne doit pas dépasser
0, 4 mm en planimétrie ; en altitude il ne doit pas dépasser les tolérances des points cotés. Ces
valeurs des différences ont été fixées compte tenu du fait que deux restitutions du même couple
stéréoscopique ne sont jamais indépendantes, même si elles sont entièrement distinctes. Une
partie des erreurs systématiques dues à la déformation du film, à la distorsion, etc. .. demeure
en effet identique dans les deux restitutions et n'exerce par conséquent aucune influence sur les
différences.
Le contrôle, en phase de restitution, des courbes de niveau est réalisé en restituant la
position et l'altitude de deux groupes d'au moins 50 points chacun, tous situés dans deux zones
distinctes du modèle examiné.
L'altitude Qp d'au moins 90 % de ces points doit satisfaire à l'expression :
Q, - Qp < V2 t
où Q; représente l'altitude du même point interpolé par les courbes de niveau le long de la droite
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