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Literatur 
[1] Cazabat C. - L'aide apportée par les photographies aériennes à l'élaboration des cartes de zones de pente. 
Commission VII, XI. Congrès international de photogrammétrie, Lausanne 1968. 
[2] Stanger W. - Das Stuttgarter Höhenlinienprogramm - Beschreibung und Ergebnisse, Numerische Photogrammetrie, 
Sammlung Wichmann Neue Folge, Band 5, S. 255-282. 
[3] Kraus K. - Zur Auswertung nicht orientierter Luftbilder. Bildmessung und Luftbildwesen, 4/1971, S. 157-164. 
[4] Assmus E. und Kraus K. - Die Interpolation nach kleinsten Quadraten. Pradiktionswerte simulierter Beispiele und 
ihre Genauigkeit, Deutsche Geodätische Kommission, Reihe A, Heft Nr. 76, München 1974, 73 Seiten. 
[5] Assmus E. - Extension of the Stuttgart Contour Program to terrain discontinuities and structural terrain features. 
Presented paper, Commission III, Symposium of the International Society of Photogrammetry, Stuttgart 19774. 
Résumé 
On présente ici un programme de calcul pour l'établissement électronique d'une carte de zones de pente. Cette 
carte reproduit le comportement de la pente du terrain. 
Le programme part des données connues en altitude du réseau ponctuel régulier, ce que nous appellerons 
"modèle digital d'altitude". Et c'est par là que le programme calcule la pente du terrain dans ces points du réseau. Les 
valeurs de pente de tous les points du réseau représentent alors le "modele digital de pente". Un programme séparé de 
courbes de niveau interpole des courbes de pente constante dans ce modéle digital de pente. Et ces courbes sont prépa- 
rées en même temps que des compléments cartographiques pour le dessin au net dans une machine à dessiner automa- 
tique. 
Le programme est décrit brièvement. On fait ensuite une comparaison du résultat de la carte des zones de 
pente dérivée de manière automatique avec les résultats des méthodes précédemment appliquées. On indique aussi la 
précision des résultats obtenus, ainsi que le coût des méthodes décrites dans la communication. 
Abstract 
A computer program for the automatic production of a terrain-slope map is presented. 
The program starts from the given height data of a regular grid (digital height model) and computes the slope 
values at the grid points, forming the digital slope model. A separate program interpolates lines of constant slope values 
(hypsoclines) from the digital slope model. The data for these lines are prepared for automatic plotting, together with 
the necessary cartographic symbols. 
The computer program is briefly described. A comparison is made between a slope map derived automatically 
from this program and two maps produced by conventional techniques. Some comments are included on the efforts requi- 
red and the accuracies obtained, 
Zusammenfassung 
Ein Rechenprogramm zur automatischen Herstellung einer Gefállstufenkarte wird vorgestellt. Diese Karte gibt 
das Verhalten des Gelàndegefálles bildlich wieder. 
Das Programm geht von den gegebenen Hóhenwerten eines regelmässigen Punktrasters aus (digitales Hôhen- 
modell) und berechnet daraus in diesen Rasterpunkten das Geländegefälle, Die Gefällwerte aller Rasterpunkte bilden das 
digitale Gefállmodell, Ein getrenntes Hohenlinienprogramm interpoliert in diesem digitalen Gefaállmodell Linien 
konstanten Geländegefälles und bereitet sie, zusammen mit kartographischen Ergänzungen, zur Auszeichnung an einem 
Zeichenautomaten auf, 
Das Programm wird kurz beschrieben. Ein Vergleich des Ergebnisses der automatisch abgeleiteten Gefällstu- 
fenkarte mit Ergebnissen bisher üblicher Aufnahmeverfahren schliesst sich an. Dabei werden die hier angewandten 
Verfahren, ihr Aufwand und die Genauigkeit der erreichten Ergebnisse beschrieben. 
DISCUSSION 
G. DUCHER - Avez-vous essayé d'obtenir la carte des pentes directement à partir de la planche de courbes de niveau 
existante (hOhenlinien) à 1:2500 ? 
W. STANGER - Oui, nous l'avons essayé, dans un autre terrain d'essai, à partir des courbes de niveau photogrammé- 
triques. Nous avons eu des informations additionnelles : quelques lignes de structure dans le terrain. Toutefois les 
résultats obtenus avec cette méthode n'étaient pas meilleurs que ceux obtenus avec la restitution photogrammétrique 
directe. 
  
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