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quant à l'interprétation des divers résultats. C'est le cas, notamment, des données toponymiques
introduisant des points de repére et des données géomorphologiques décrivant, surtout d'un point
de vue géotechnique, les formes du relief tout en précisant les facteurs d'hydrologie, de topogra-
phie et de stabilité des pentes.
Les données de la catégorie ""coupe géologique"' facilitent l'expression des hypothèses de
travail ou des renseignements relatifs à la superposition des diverses formations, précisent leurs
caractéristiques structurales essentielles et forment une base de départ en vue de l'investigation
semi-automatique de la zone d'étude. D'une façon générale, elles complètent et précisent, en
partie, des indications déjà connues, rassemblées dans la catégorie "géologie
Enfin la catégorie '"sondage' regroupe, éventuellement, selon les types de sondages effec-
tués, les informations extraites du cahier des sondages accompagnant les rapports géologiques.
Bien que tous les renseignements contenus dans un sondage puissent étre archivés et restitués,
tous ne peuvent étre intégrés dans les divers programmes. Seules, les cotes ou profondeurs, re-
latives aux formations et nappes traversées, interviennent dans les calculs automatiques.
En vue d'obtenir une certaine souplesse d'exploitation des données de la base, nous avons
choisi deux modes d'extraction, pour le moment, indépendants, bien que complémentaires :
- le mode global, opérationnel, et le seul utilisé actuellement ;
- le mode ponctuel, en cours de test et devant, dans un proche avenir, étre mis à la disposition
des utilisateurs.
Dans le premier cas, le programme d'extraction ne retient que les informations situées
à l'intérieur d'un domaine défini par l'utilisateur et appartenant aux catégories et groupes de don-
nées désignés par lui-même. Dans le second cas, il s'agit d'un programme d'interrogation de
fichiers adapté à la base de données, offrant à l'utilisateur la possibilité de définir des critères
d'extraction, éventuellement liés logiquement entre eux.
L'objet essentiel de la consultation de la base de données est de permettre la restitution
plus ou moins complète des données archivées et la constitution d'une carte, dite carte des infor-
mations. En effet, le géologue a la possibilité de choisir, à la console de visualisation, les infor-
mations par le mode global et, très prochainement, par le mode ponctuel, afin d'obtenir automa-
tiquement une carte qui rende compte des informations disponibles et traduise à l'aide de symboles
graphiques leur répartition et leur nature (fig. 1). Affichée à l'écran, cette carte offre à l'utilisa-
teur la possibilité de dessiner, avec le photostyle, la trace des coupes dont il a besoin et de sé-
lectionner, pour chacune d'elles, les informations ponctuelles qu'il juge utiles à leur réalisation
(fig. 2).
Il peut arriver que les données ainsi retenues (pendages, sondages) soient situées dans
le voisinage de la coupe ; or le voisinage est une donnée vague qu'il serait fort difficile d'intégrer
dans un programme. D'où l'intérêt de l'emploi de la console de visualisation qui laisse le géologue
libre du choix, de la décision et de l'interprétation.
Après avoir ordonné leur exécution, au fur et à mesure de leur production, les coupes
sont visualisées pour être, éventuellement, complétées et comparées (fig. 3). De cette façon, il
est possible d'explorer toute une zone, d'en établir la ‘charpente géologique" au moyen de coupes,
dans leur ensemble cohérentes au sens des critères que se sera imposés le géologue et spéciale-
ment retenues et archivées pour leur représentativité dans un fichier particulier.
L'élaboration de l'image peut faire ressortir des anomalies ; il est alors aisé au géologue,
dans ce cas, à partir des dessins automatiques correspondant aux cartes et coupes visualisées, de
décider de l'implantation de nouveaux sondages et des méthodes à employer pour lever les indéter-
minations décelées. Riche de données supplémentaires recueillies sur le terrain, compilées à leur
tour, le géologue peut procéder à la modification partielle de l'image numérique, c'est-à-dire des
coupes antérieurement obtenues.
Le modèle numérique, ainsi constitué, permet la production automatique de profils géo-
logiques en long et en travers d'une route et l'obtention de cartes en courbes de niveau du toit des
diverses formations. Exploité automatiquement dans le cadre des études routières, il pourra
servir aux calculs de terrassement. Bien entendu, la représentativité d'une telle image des inter-
faces des formations dépend de la nature, de la quantité et de la qualité des renseignements dis-
ponibles lors de sa constitution.
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