Full text: Révision (Deuxième partie)

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RÉVISION DES CARTES 
RAPPORT DE SYNTHÈSE ET CONCLUSIONS DU GROUPE DE TRAVAIL IV-2 
G. BIRARDI 
président du G. T. IV-2 
Ainsi, notre "journée révision" est terminée. Je veux en premier lieu remercier tous 
Tes orateurs de la peine qu'ils se sont donnée, et des enseignements qu'ils nous ont apportés, et 
remercier aussi tout le monde ici présent, pour l'attention qu'il a gentiment prêté à notre travail. 
Je voudrais maintenant essayer d'esquisser une synthèse de ce que nous avons fait, ce 
qui n'est pas facile. Je crois qu'il faut avant tout apprécier à sa juste valeur le travail très posi- 
tif qui a été accompli, et signaler l'intérêt que toute communication a suscité auprès de tous ceux 
qui ont eu la chance de participer à ce Symposium ; comme en témoignent la quantité et la qualité 
des interventions et des questions qui ont été posées, et des discussions qui ont suivi. Cela pro- 
vient de ce que la révision des cartes est un problème dont l'acuité est vraiment actuelle et mon- 
diale ; je crois que l'on peut affirmer que c'est le problème numéro un - pour ne pas dire "l'en- 
nemi public numéro un'' - de tout Service Géographique du monde : 
Vous avez vu que, dés le premier jour, nous sommes entrés dans le vif du sujet par des 
vues spatiales sur la révision, exposées par M. Doyle et Mme Fleming ; les nouvelles qu'ils nous 
ont données sont vraiment encourageantes ; on envisage une sérieuse possibilité de révisions tirées 
de l'espace, jusqu'à l'échelle du 1:50000 et peut-étre mieux encore. La question est du plus haut 
intérêt : peut-être que la solution de tous nos problèmes est là, dans les prises de vues de l'espace, 
traitées avec des procédés de cartographie automatique. 
Nous avons entendu ensuite des communications - de M. Schneider, M. Yzerman et moi- 
méme - sur des appareillages particuliérement destinés à la révision. C'est l'indication que le 
monde des constructeurs a commencé à s'intéresser à nos problèmes, qui ne sont pas les mêmes 
que ceux de la cartographie générale et qui peuvent être résolus par des moyens spécifiques. 
Ensuite, les différents problèmes, processus et opérations envisagés pour la révision en 
plusieurs pays ont été examinés ; à cet égard nous avons entendu de très intéressantes communi- 
cations de MM. Knôpfli, Schmidt-Falkenberg, Kônig, Weibrecht, Krauss, Bacchus, Molea et 
McKenzie. Il est impossible d'en tirer une synthèse ; le seul facteur commun est que chacun est 
convaincu que son procédé de révision est le meilleur ; et probablement chacun a raison, parce 
que les méthodes qu'il emploie sont sûrement les mieux adaptées à la situation de la cartographie 
et du terrain de son pays. On ne peut pas donner de règles générales ; dans nos problèmes il y a 
trop de variables et d'inconnues. 
Toutefois, dans la réunion d'hier de notre groupe de travail nous sommes arrivés à quel- 
ques conclusions, que je vous expose ici : 
1 - On avait proposé en juin 1973 un "essai de révision", consistant à comparer différentes 
méthodes par rapport à une révision "étalon' obtenue par une restitution rigoureuse. Fallait-il 
poursuivre cet essai, ou bien valait-il mieux limiter nos efforts à la confection d'un catalogue 
fournissant l'inventaire de toutes les méthodes de révision employées dans les différents pays et 
institutions ? 
La discussion a porté sur cette question et il a été décidé de ne pas poursuivre l'essai, 
mais de transmettre à tous les pays et institutions un questionnaire détaillé (qui sera préparé par 
MM. Krauss et Van Zuylen) et permettra de rassembler toutes les informations relatives aux 
techniques de révision. Une résolution a été rédigée dans ce sens et approuvée par le groupe de 
travail. Le texte figure ci-après. 
9 - On a également évoqué les procédés de révision nouveaux, ceux que M. Doyle et Mme 
Fleming nous ont proposés, basés sur les informations spatiales. Je crois - et la réunion d'hier 
l'a confirmé - que ce sujet est d'une extrême importance ; personnellement je suis convaincu que 
d'ici 10 à 15 ans le recueil d'informations de l'espace deviendra la méthode normale de travail 
pour la révision. C'est pourquoi M. Carré a préparé, en accord avec M. Doyle, une résolution 
que M. le Président de la Commission IV a l'intention de vous présenter ici. 
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