SEN
258 rie =
de feuillus et futaie de feuillus et résineux est estompée.
, Par contre la zone incendiée en 1976, divisée en plusieurs classes
sur l'image Landsat, apparaît ici trés nettement homogène, malgré des types de
reconquéte de la végétation spontanée différents (zones 3 et 4).
La combinaison Landsat-Seasat apporte évidemment la précision de
Seasat pour les limites entre les divers secteurs.
CONCLUSION RELATIVE AU THEME FORET
Le traitement des données Landsat et Seasat n'a pas été fait pour
l'étude spécifique de la forêt ; les images composites Landsat-Seasat pour-
raient, sans doute, être améliorées. Le fait que la combinaison élimine une
partie de l'information Landsat le montre ; Malgré cela la combinaison apporte
des erements intéressants en particulier unebonne cartographie du secteur
ncendié.
Cela tient au fait que la bande L apporte des éléments sur la texture
des couverts végétaux et Landsat des informations sur la radiomëtrie dans lé
visible et le proche infra-rouge, qui tiennent évidemment compte de la texture
de la végétation, mais a un degré moindre. Certaines confusions entre des
bandes a éricacées et des forêts de résineux, peuvent être éliminées grâce à
l'apport de Seasat. (x Voir note)
CONCLUSIONS
L'intégration des données Seasat et Landsat est une étape vers la
caractérisation des objets par une gamme plus importante de longueurs d'onde.
Ceci doit à terme permettre une meilleure discrimination des constituants. du
paysage grâce à une signature spectrale plus riche. De la même façon l'accrois-
sement de la résolution spatiale permet une localisation plus précise des objets
discriminés.
Les outils informatiques nécessaires à l'adjonction de nouvelles
données existent tous : les programmes de rectification géométrique et les
programmes d'analyse de données. Ces derniers prennent tout leurs sens grâce
à l'adjonction de variables relativement indépendantes ce qui n'était pas le
cas jusqu'ä présent car on essayait surtout d'ajouter de nouvelles variables
dans le spectre visible.
Les thématiciens attendent donc avec impatience de nouvelles données
radar et espérent que ERS 1 comblera le vide laissé par Seasat.
Une étude rapide de la composition colorée résultante de l'analyse en
composantes principales Seasat-Landsat paraît montrer que le nombre de
classes y est comparable à celui déterminé dans Landsat seul. L'étude
approfondie n'a pas été effectuée faute de temps par le spécialiste
forestier.
229
sm” CAI tl pe E
E 5 rs
ELLE a AE