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sont pas abrupts (pentes de 70 % et plus). Le caleul automatique de IV donne
la possibilité de sortir des résultats statistiques en surface par tranche
détaillée de IV dans les limites centrales et périphériques des parcs et de
regrouper des tranches de IV en 24 classes pour une cartographie en couleurs
conventionnelles au 1/100.000è sur chaque parc. Pour fixer des limites de
classes tenant compte de l'existance de certains types de végétation connu
que l'on souhaite isoler et pour passer à des estimations de biomasse
végétale verte en nombres absolus, il faut procéder à des calages des
valeurs de IV avec des mesures ou évaluations effectuées sur des sites-tests.
Trois méthodes peuvent être envisagées.
ler cas : regroupement des tranches de IV en fonctions de l'allure et de la
distribution statistique des pixels et d'essais en salle de traitement sur
images d'écran, pour repérer et localiser les catégories sur l'image fausse
couleur améliorée photointerprétée afin d'obtenir un plus grand détail sur
les formations herbacées et /ou arbustives et /ou arborées, et de
retrouver les mêmes grandes catégories ;
2ème cas : disponibilité de sites-tests de 12 à 15 ha au moins indiqués par les
parcs sur une carte au 1/100.000è, qui sont caractéristiques des classes de
formations herbacées et /ou arbustives et /ou arborées que les pares
souhaitent isoler (2 sites-tests par catégorie si possible) ; sur les sites-
tests on met en correspondance en salle de traitement l'occupation du sol et
les valeurs de IV, on calcule ensuite systématiquement IV et les regroupe-
ments en tranches de IV sont effectués sur l'ensemble de la zone d'étude en
fonction des résultats obtenus sur les sites-tests et comprennent les
classes définies par les parcs $
3ème cas : identique au précédent avec, en plus, une estimation sur les sites-
tests de la biomasse verte (ayant une activité de photosynthèse) recueillie
par les soins des parcs, ce qui permet de mettre en correspondance
l'indice IV qui caractérise les variations relatives de la biomasse végétale
avec la valeur physique de cette biomasse, afin d'aboutir à des résultats
d'ensemble en valeur absolue de biomasse.
Les travaux entrepris sur le parc du Mercantour relèvent de la 3ème
méthode, ceux lancés sur le parc des Pyrénées-Occidnetales se placent
dans la deuxième perspective.
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