y (visible et
et déficit
R.D. Jack-
ue l'indice
les céréales
CWSI) qu'ils
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la figure 11
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Histogram-
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31.3)
6, des va-
table 3
Seuil de déficit (point de sé- Arrét de croissance de la bio-
paration INF sur figure 11) masse (max du rapport PIR/R)
CWSI 0,28 0,52
EEU 0,46 0,67
Table 3.: Valeurs moyennes du CWSI et de EEU obtenues par R.D. Jackson et
al./) pour divers couverts de blé correspondant à deux seuils typiques de
déficit hydrique.
Les valeurs dans ce tableau dépendent des conditions microclimatiques en
particulier de la vitesse du vent.
CWSI
30 T Tr T v T T^ Tr r r vr 1.0
esr 4
0.8
20 |
0.6
g^ is) |
: 1
A 0.4
ui Jel MAX
t
2
e Sb 4 0.2
re
INF
© A 4. a A ou A. A. A A. A. a 1 1 Cat 7 1 1 4
30 60 se 120 150 0.0 = 0.0
70 90 110 130 150
Jours Jours
Figure 11 : Variation du rapport Figure 12 : Variation du CWSI (o) et
proche infra-rouge/rouge en fonction de la fraction d'eau extractable à
du temps pour la parcelle bien irri- 1,1 m utilisée (+) EEU en fonction
guée (x) et la parcelle mal irriguée du temps.Pour la parcelle A, il y a
A GC». eu irrigation au jour 100.
A l'échelle régionale, B. Seguin et al.!!) ont présenté une analyse qua-
litative de la répartition spatiale des luminances observées à partir de NOAA 5
et de Météosat et de leurs corrélations avec les caractéristiques du terrain.
Ils notent que :
- les écarts de luminance sont d'abord sensibles à la topographie et l'altitude
puis en plaine, aux bilans hydriques ;
- les écarts de luminance pour NOAA 5 se corrèlent bien en plaine de la Crau
avec les contrastes hydriques mesurés au sol. L'avantage du satellite est qu'il
donne en plus les effets saisonniers sur une grande surface.
Comme le notent aussi B. Seguin et al. hy, il faut absolument s'appuyer
sur des modéles reliant les paramétres à observer aux paramétres observables
si on veut entreprendre des études quantitatives (évapotranspiration, inertie
thermique, humidité etc...). Les études sont en effet possibles comme viennent
de le montrer les équipes européennes qui ont analysé les données Météosat sur
le Sahel pour en extraire une estimation de l'évapotranspiration et de l'iner-
tie thermique dans le cadre du GAMP sous contrat EARSEL et ESA.