Full text: Actes du Symposium International de la Commission VII de la Société Internationale de Photogrammétrie et Télédétection (Volume 2)

  
  
   
    
    
  
   
     
      
   
    
  
  
  
  
  
  
   
   
  
  
   
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Seuil de déficit (point de sé- Arrét de croissance de la bio- 
paration INF sur figure 11) masse (max du rapport PIR/R) 
CWSI 0,28 0,52 
EEU 0,46 0,67 
  
  
  
  
  
Table 3.: Valeurs moyennes du CWSI et de EEU obtenues par R.D. Jackson et 
al./) pour divers couverts de blé correspondant à deux seuils typiques de 
déficit hydrique. 
Les valeurs dans ce tableau dépendent des conditions microclimatiques en 
particulier de la vitesse du vent. 
  
  
  
  
  
  
  
  
  
CWSI 
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INF 
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30 60 se 120 150 0.0 = 0.0 
70 90 110 130 150 
Jours Jours 
Figure 11 : Variation du rapport Figure 12 : Variation du CWSI (o) et 
proche infra-rouge/rouge en fonction de la fraction d'eau extractable à 
du temps pour la parcelle bien irri- 1,1 m utilisée (+) EEU en fonction 
guée (x) et la parcelle mal irriguée du temps.Pour la parcelle A, il y a 
A GC». eu irrigation au jour 100. 
A l'échelle régionale, B. Seguin et al.!!) ont présenté une analyse qua- 
litative de la répartition spatiale des luminances observées à partir de NOAA 5 
et de Météosat et de leurs corrélations avec les caractéristiques du terrain. 
Ils notent que : 
- les écarts de luminance sont d'abord sensibles à la topographie et l'altitude 
puis en plaine, aux bilans hydriques ; 
- les écarts de luminance pour NOAA 5 se corrèlent bien en plaine de la Crau 
avec les contrastes hydriques mesurés au sol. L'avantage du satellite est qu'il 
donne en plus les effets saisonniers sur une grande surface. 
Comme le notent aussi B. Seguin et al. hy, il faut absolument s'appuyer 
sur des modéles reliant les paramétres à observer aux paramétres observables 
si on veut entreprendre des études quantitatives (évapotranspiration, inertie 
thermique, humidité etc...). Les études sont en effet possibles comme viennent 
de le montrer les équipes européennes qui ont analysé les données Météosat sur 
le Sahel pour en extraire une estimation de l'évapotranspiration et de l'iner- 
tie thermique dans le cadre du GAMP sous contrat EARSEL et ESA. 
 
	        
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