x l'approche ponctuelle de l'interprétation se situe au niveau
d'un élément d'image tel que la perception de ces éléments du
paysage ne soit pas possible.
En fait, il apparait que critères géométriques et statistiques corres-
pondent à deux compréhensions différentes imposées par le niveau de perception.
de l'image. Cette notion est évidemment liée à l'échelle de prise de vue ou à
la taille du pixel. Les règles d'interprétation utilisant ou appliquant ces
critères sont choisies intuitivement en fonction de l'organisation des frontières
entre les primitives (par exemple, l'interprétation de deux images sur une
région agricole donnera des résultats différents selon que les limites des
parcelles sont évidentes ou floues). Sur ce plan de la structure des limites,
il manque également un modèle d'approche permettant un choix objectif du type
de critères à retenir.
Dans l'immédiat, pour être simulés numériquement, ces critères
devront faire appel à des formulations objectives telles que les règles de :
- voisinage et métriques de mesure de proximité, ressemblance,
similitude des textures dans l'espace de l'image ou dans l'espace
des textures,
- connexités et frontières définissant des composantes connexes
organisées ou non et des relations objet/fond mesurables.
Ces éléments théoriques sont suffisants pour présenter la suite de
ce travail. Cependant, des actions sont en cours pour mieux définir les trois
familles de critères d'interprétation. En effet, leur connaissance conditionne
la nature des règles d'interprétation et facilite leur modélisation numérique.
En particulier, l'éventualité de proportions constantes de différents critères
pour caractériser des paysages végétaux montre les limites de simulations
numériques non adaptées. (Exemple évident : l'inadaptation des techniques multi-
spectrales à l'analyse de position). :
II.3 PRINCIPES DE SIMULATION NUMERIQUE DE L'INTERPRETATION
II.3.1 Fonctions à remplir par la simulation numérique
La première règle d'interprétation (Phase B) à simuler concerne
l'action de stratification. Cette opération consiste à découper la surface
étudiée en régions de méme apparence. Il est postulé que les aires obtenues
correspondent généralement à des régions naturelles sur le terrain (pour la
similitude des propriétés d'organisation interne). L'interprétation appliquée
à une telle zone peut alors chercher la correspondance des textures caracté-
ristiques avec des objets naturels. Les relations obtenues sont significatives
puisque les connaissances thématiques sont extraites des zones d'égal raison-
nement (LIPPMAN, 1981). La simulation numérique de la stratification doit donc
développer des opérateurs de segmentation zonale.
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