situe au niveau
à ces éléments du
tatistiques corres-
lau de perception.
^ise de vue ou à
appliquant ces
ation des frontières
nages sur une
5 limites des
ire des limites,
)bjectif du type
2s critères
les règles de :
ssemblance,
ou dans l'espace
Les connexes
irables.
ter la suite de
finir les trois
sance conditionne
sation numérique.
Fférents critères
simulations
; techniques multi-
RETATION
1umérique
ler concerne
ar la surface
aires obtenues
rain (pour la
tation appliquée
(tures caracté-
it significatives
; d'égal raison-
ication doit donc
relations suivantes entre les phases A, B et C.
Selon le schéma général du paragraphe II-1, cette action répond aux
Phase A Phase B Phase C
Zonage terrain|—— Stratification” —>
ou par cartes manuelle de 1'image
Segmentation
numérique de 1'image
: Bien que cette régle ne représente qu'un cas dans la méthode de photo-
interprétation analytique, son importance doit étre soulignée, car elle permet
de limiter les erreurs en cartographie automatique de la végétation.
La deuxième fonction à simuler concerne la double approche à deux niveaux
d'observation. Les algorithmes utilisés dans la phase C doivent donc traiter
l'image en tenant compte d'environnements de taille variable. Les résultats
obtenus peuvent faire l'objet d'un classement qui les fusionne afin de repré-
senter la dualité de la compréhension visuelle.
La troisième fonction est la simulation numérique proprement dite. Elle
consiste à représenter le mieux possible les critères et les règles d'interpré-
tation par des opérateurs spécialisés. Cette fonction est la plus importante
car elle détermine la qualité de la modélisation (passage de la phase B à la
phase C) dans la procédure générale.
Si les résultats sont fournis dans une structure identique à l'image
originelle, il est possible de traiter une image déjà classée pour lui appliquer
de nouvelles transformations : c'est la notion de classification de 2e ordre.
11.3.2. Notion de classification de deuxième ordre
Dans la photointerprétation des règles sont appliquées à des textures qui
sont considérées comme des objets identifiés pour que le raisonnement d'inter-
prétation soit plus élaboré. Cette assimilation des phases À et B est fréquente
dans les cas où des relations évidentes font correspondre 1 texture a 1 objet.
Par exemple, les propriétés de couleur d'un objet végétal et de sa représentation
dans l'image sont souvent à l'origine de ces relations. I] y a donc le besoin de
traiter une information déjà ordonnée en classes thématiques.
La simulation numérique de cette démarche consiste à appliquer un opérateur
donné au résultat d'un autre traitement de l'image. C'est cette action qui est
appelée dans ce papier classification de deuxième ordre. Des procédures d'analyse
de texture de paysages (VERGER, 1980) ou d'aides automatiques à la stratification
(FLOUZAT, 1977) correspondent à cette démarche.
La mise en oeuvre la plus immédiate pour représenter une première inter-
prétation est un classement spectral. En effet, il est toujours possible d'iden-
tifier quelques catégories d'objets au sol par leurs propriétés spectrales comme
le fait un cartographe. Des informations peuvent alors être obtenues par des
critères d'interprétation de cette première carte. En particulier, la densité de
présence et l'organisation des points des différentes classes indiquent des
régions de même apparence. La modélisation de ces critères de densité et de
position a été réalisée et se trouve décrite au paragraphe III.2 (simulation de
la deuxième règle d'interprétation dans l'exemple présenté). Cet algorithme
permet une segmentation (phase C) qui simule la stratification (phase B) définis-
sant les zones d'égal raisonnement.