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Des efforts sont également poursuivis pour développer des moyens
de traitement interactifs d'images tant au point de vue des matériels que
des logiciels.
Si, actuellement, l'effort principal est tourné vers la
télédétection terrestre, la France ne se désintéresse pas de l'observation
des océans. Les laboratoires français ont participé au dépouillement des
données du satellite américain Seasat. La France participe au projet ERS 1
de l'Agence spatiale européenne utilisant d'ailleurs certains développements
effectués dans le cadre du programme Spot et poursuit ses études pour
d'autres projets d'observation de l'océan tel que le projet Poseidon.
L'observation radar à haute résolution de la Terre intéresse également les
techniciens et chercheurs francais, des études préliminaires sont en cours
dans le cadre des projets de stations orbitales étudiées par le Cnes tel
que Solaris.
Le programme spatial francais de télédétection fait appel à toutes
les compétences techniques, thématiques, mathématiques lesquelles ont été
largement développées en France depuis une quinzaine d'années, Avec Spot,
c'est la cartographie spatiale qui est privilégiée ; la cartographie a une
longue tradition en France. Dans le domaine spatial, la géodésie spatiale
avait profondément marqué les débuts du Cnes, la cartographie compléte
bien cet effort initial.
. "Ceci ne signifie pas que les autres branches de la télédétection
seront oubliées, le programme spatial francais de télédétection se diversifiera
vers la fin de la décennie tout en préservant le caractére opérationnel des
services mis en place sachant que les "utilisateurs" ne peuvent pas
travailler sans l'assurance d'une continuité.
R.SDIETHRICH,
Président du G.D.T.A.,
Mesdames et Messieurs, il me reste trés peu de temps pour vous présenter le
Groupement pour le Développement de la Télédétection Aérospatiale mais sans
doute le connaissez-vous déjà.
Ausi, plutót que d'en décrire l'ensemble des activités, je me contenterai d'en
souligner quelques traits qui me paraissent caractéristiques.
Caractéristique déjà son évolution dans l'histoire : fondé en 1973, il y a
bientôt dix ans, par le CNES et l'IGN, c'est-à-dire deux organismes qui avaient
essentiellement des moyens d'acquisition et de traitement de données, le grou-
pement s'est adjoint ensuite trois autres organismes qui sont du côté des appli-
cations, à savoir l'IFP, le BRGM et le BDPA. Vous trouvez donc là trois utili-
sateurs dans des domaines assez variés et qui recouvrent l'essentiel de ce que
l'on peut attendre comme applications de la télédétection. Et c'est ainsi qu'au
sein de ce GDTA se trouvent mélangées une série d'activités qui se soutiennent
les unes les autres ; à commencer par la recherche et le développement : le GDTA
essaye de coordonner les actions de recherche et développement en télédétection
pour les cinq organismes membres. Il en assure par lui-même un certain nombre
là aussi, il avait commencé par regarder du côté des moyens ou des techniques,
.le radar, la thermographie par exemple, et il est venu un peu plus récemment,
depuis deux ou trois ans et à l'occasion de la préparation du programme SPOT, à
regarder de beaucoup plus prés les applications directes, notamment avec les
simulations SPOT pour lesquelles nous avons engagé toute une série d'actions et
de projets pilotes, aussi bien en France qu'à l'étranger et méme hors du conti-
nent européen.