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So, on my behalf, on behalf of the Council, on behalf of the participants, I Je dois
want to express our thanks to the organizing committee for the superb work constru
which has been accomplished during this week. la comm
Monsieu
Thank you. jusqu ' at
un véhit
L. LAIDET | ERES E
des anni
Merci Monsieur le Président DOYLE pour ces mots aimables que je souhaite partager les uti
avec tous les organisateurs de ce symposium. J'aimerais maintenant que nous
parlions des conclusions de ce symposium et, plus particuliérement, si vous le G. KONE!
permettez Monsieur le Président, nous pourrions lancer la discussion sur le ee
point suivant.
Comme je vous le disais en introduction Lundi dernier, la SIP est une vieille tee
société qui prend en compte maintenant les récentes techniques d'observation % ;
de la terre que l'on nomme généralement télédétection. Nous ne nous lancerons Qu Chen
pas dans une discussion académique sur les maniéres d'appeler les recherches a ne
en photogrammétrie ou en télédétection, mais ce qu'il faut retenir, je crois, m his
c'est que cette société, qui comporte un bon nombre de photogrammétres, c'est- Phi
a-dire de personnes qui ont le souci de la précision, le souci du report carto- Sova
graphique des données, ont beaucoup à donner aux gens qui font de la télédétec- e d
tion. Ceux qui font de la télédétection se sont, en effet, lancé dans diverses 218 0a)
directions de recherche en essayant de découvrir, d'interpréter les données a > 9 cu
leur façon. Mais ce qui manque le plus, je crois, c'est une sorte de méthodolo- Ny 9r
gie, l'établissement de procédures pour arriver à la précision qu'obtiennent move 4
les photogrammétres : ces photogrammétres qui travaillent depuis des décennies N Our Sm
sur leurs documents photogrammétriques et qui ont établi des régles, des normes QUT Sym
qui leur permettent d'avoir un travail assez standardisé et donc opérationnel. here. 1.
Et ce que je souhaiteraisc'est que la télédétection, pour étre vraiment crédible, ij S ol
apprenne des photogrammétres cette rigueur, on pourrait peut-étre démarrer la h
discussion sur ce point-là. Reve nes
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Professeur H. CURIEN KNOW Zn
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Voila donc un premier sujet de débat. establi
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Déja, pour reprendre ce que vient de dire Monsieur LAIDET, j'avais indiqué the. svi)
dans mon introduction que j'estimais qu'avec les satellites, et en particulier, S00 on:
avec les satellites tels que SPOT, les photogrammétres avaient à apprendre une tu ure
nouvelle photogrammétrie qui n'était pas la photogrammétrie classique et in tem.
j'aimerais effectivement savoir ce que pensent un peu les personnes présentes b d in
dans l'assemblée et la SIPT sur le sujet de cette nouvelle photogrammétrie. pe leve
Finalement, j'avais posé le probléme de l'enseignement de cette nouvelle Ag y
photogrammétrie parce que je m'inquiéte quelques fois de voir que l'on oro us,
forme des jeunes géographes, hydrographes, géologues ou autres à utiliser | prectis
les photographies classiques prises par avion alors qu'on sait qu'avec les We Re
satellites Landsat ou les satellites tels que SPOT c'est en fait une autre
perspective et d'autres photographies qui vont &tre fournies et que, pratique-
ment, sauf quelques spécialistes dans les instituts géographiques utiliseront
les photos aériennes, les jeunes ne seront pas formés. C'est un sujet de dis-
cussion.
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