ant de 1976 et 
de l'ICITV.a 
res fruitiers 
ces échantillons 
les dans les dif- 
néthode de classi- 
as correspond à 
types dans cha- 
fier l'emplace- 
lons a été effec- 
dessous 
0.00 2.42 0.00 
0.00 0.00 0.00 
0.00 23.41 0.00 
0.00 11.85 0.00 
0.00 1.04 0.00 
0.00 2.17 0.00 
0.00 0.00 0.00 
0.00 0.00 0.00 
10.97 0.00 0.00 
87.72 0.00 4.39 
0.00. 433.65 0.00 
: 0. 
nN 
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nN 
w 
© 
© 
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I 
ces échantillons 
ifier, les trans- 
> 
  
  
V - TRANSFORMATIONS LOCALES : 
Ce sont des opérateurs qui permettent d'obtenir des modifications du 
ton de gris d'un point en fonction des tons de gris de ses voisins. Ils expri- 
ment les rapports du ton de gris du point avec ceux de ces voisins. 
Plusieurs opérateurs peuvent être utilisés : moyenne, écart type, écart à la 
moyenne gradient dans des directions opposées, &cart par rapport a la moyenne, 
etc... 
Les opérateurs suivants ont permis d'obtenir des images offrant des ca- 
ractéristiques suffisantespour la localisation des échantillons. 
Moyenne : remplacer un point par la moyenne sur le voisinage de ces 
points (ici voisinage de 3 x 3) l'image est alors homogénéisée, les contrastes 
sont diminués. Les zones homogènes sont mises en evidence, les frontières es- 
tompées. 
Ecart à la moyenne : 
-1 -1 -1 
9 9 9 
A écart - on - A moy = -1 -8 -l 
9 9 9 
000 
#1 =] ol 
9 9 9 
Les points de fort contraste sont détectés. L'opposition entre Zone homogène 
(forêt) et zone hétérogène (mosaïque de culture) est mise en valeur. 
Ecart type sur le voisinage 
Les points sont remplacés par l'écart type sur le voisinage. Cet opéra- 
teur fait apparaître les zones homogènes et inhomogènes. 
Ces opérateurs ont permis de faire apparaître les grandes zones et ainsi 
de mieux les distinguer dans un paysage où les contours sont înexistants. Cer- 
taines de ces zones sont très inhomogènes telles les mosaïques de rizière et 
arbres fruitiers. D'autres comme les rizières ou les forêts sont très homogè- 
nes. Cette caractéristique permettra de les séparer. De même différents degrés 
de l'homogénéité peuvent permettre de distinguer la dégradation de la forét. 
L'exemple ci-aprés (fig.1,2,3) montre que l'échantillon choisi d'aprés 
les photos aériennes, ici la rizière, ne peut correspondre à cette classe puis- 
que les images transformées font apparaître une zone inhomogéne. 
Une confrontation avec les thématiciens de l'ICITV a permis de confirmer l'in- 
dication donnée par les images transformées : les échantillons présélectionnés 
par photointerprétation sur les photos aériennes n'étaient pas représentatifs 
des classes citées. 5 M ; ; 
Dans ce cas, les transformations d'image ont été une aide à l'interprétation. 
La forét sempervirente et non sempervirente ne peut se distinguer, ainsi 
ces deux classes ont été regroupées.