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DES LOGARITHMES.
On appelle logarithme d’un nombre, l’exposant de la puissance
à laquelle il faut élever une quantité convenue pour avoir ce nom-
bre. (Cette quantité convenue est ordinairement 10.) E
Au moyen des logarithmes , on ramène la multiplication à l’addi-
tion, la division à la soustraction , la formation des puissances à la
multiplication et l'extraction des racines à la division. .
4° Le logarithme d’un produit est égal à la somme des loga-
rithmes des facteurs. Ainsi le logarithme de AXB XCXD égale
log. À + log. B + log. C++ log. D.
2° Le logarithme d’un quotient est égal au logarithme du divi-
: P s i id A
dende, moins celui du diviseur. Ainsi log. = log. À — log. B.
3? Le logarithme d'une puissance quelconque d'un nombre est
égal au logarithme de ce nombre, multiplié par l’exposant de sa
puissance. Ainsi log. A6 z— (log. A X 6).
4° Le logarithme de la racine d'un nombre est égal au logarithme
de ce nombre divisé par l'indice de cette racine. Ainsi log. VE
log. A
7 tu
Ce simple exposé suffit pour montrer l'utilité des tables de loga-
rithmes.
COMPLÉMENTS LOGARITHMIQUES.
On appelle complément arithmétique d’un logarithme, ce qui
manque à ce logarithme pour égaler 10, ou en d’autres termes, c’est
le résultat que l’on obtient en retranchant ce logarithme de 10.
Les compléments arithmétiques ont été imaginés pour ramener
une suite d'opérations à une seule addition de logarithmes.
Pour obtenir un complément logarithmique , il faut. évidemment
retrancher de 10 le logarithme dont on veut avoir le complément et
le reste de la soustraction est précisément le complément cherché.