DORURE GALVANIQUE. ‘293 |
parti d'agate. Si l'on veut dorer ainsi les métaux, il faut,
'avec avant de brunir, passer la piéce au four, pour sécher le
par- vernis : de là vient le nom de dorure au four.
| sui- On pratiquait de méme une argenture à la feuille, au-
déjà jourd'hui complétement délaissée, car la main-d’œuvre
nent y est considérable, et les pertes sont très-grandes.
" des Le plaqué d'argent s'obtient en soudant sur un lingot
e est de cuivre une feuille d'argent fin; la soudure est faite
t re- avec un mélange de borax et d’azotate d'argent. Le lin-
: got de cuivre, chauffé au rouge et recouvert de cette
avait pâte liquide, est entouré de la feuille d’argent, puis
riers. passé au laminoir. On fabriqne ainsi des. plaques de
d'un cuivre plaquées d'argent, que l’on peut travailler au
leurs tour ou au moule, et qui sont d’autant plus riches que
mou- la couche de métal fin est plus épaisse.
peurs On pratique enfin, en Angleterre surtout, pour les
amal- objets de mince valeur, un dernier moyen d’argenture.
mer- C’est l’argenture au trempé, presque identique du reste |
ante; à la dorure par immersion. On plonge les objets dans un E
vec le bain argentifère bouillant, et le métal se dépose en mince
e tout couche.
it l’or La plupart de ces anciens moyens sont à peu près
devait abandonnés aujourd’hui, grâce au procédé galvanoplas-
sgale- tique, et les nombreux inconvénients qu'ils présentaient
re des sont maintenant évités.
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