ire
en
tes
sé-
1ce
ire
| le
"0-
ni-
)re
oit
ue.
la
de
ête
er-
les
les
un
re
LES CELLULES. 157
triomphe jusque dans les derniers replis de
'étre. ;
Ce n'est pas seulement]le carnivore qui vit de des-
truction, mais aussi l’her-
bivore qui procède sans
relâche à une hécatombe
de végétaux, les plantes
qui se disputentla terre fé -
le froment lorsqu’elle
n’en est point étouffée.
Un misanthrope pourrait dire qu’aucune des par-
tes du plus innocent végétal ne reste en paix
avec elle-même , que l’on retrouve partout la
trace de la violence , tan-
dis que l’on cherche inu-
tilement l’asile de la fra-
ternité!
: Mais est-ce que notre
>) \ merveilleux instrument
<A / d'optique ne nous donne
/ pointune justification ad-
mirable de la prévoyance
et de la bonté de la na-
ture? Ne voyez-vous point
que c’est la vie qui con-
tient la vie, de sorte que les molécules sont
obligées fatalement d’obéir à la force organisatrice
qui les pousse, La postérité d’aucune de ces ambi-
tieuses n’arrive à conquérir le monde, mais elle
Cellules rondes.
Cellules polygonales.
conde , l'ivraie qui étoufle .