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LES JEUX DE LA LUMIERE.
Supposons que, comme Fontenelle et Lucien,
nous cherchions à décrire le séjour des sages,
que nous nous proposions de donner une idée
des merveiles de ce lieu de délices intellec-
tuelles. Certes, nous n'irions pas nous imaginer
que les Archiméde, les Newton, les Socrate, les
Diderot, sont obligés de se contenter de cette
lumiére imparfaite qui illumine nos paysages
d'ici-bas.
Nous placerons dans nos Champs-Élysées un as-
tre dont les rayons plus lumineux que ceux de
notre soleil mettront en relief mille différences
trop subtiles pour être révélées aux habitants de la
terre. Nous admettrons qu’une récompense de ces
robustes génies est d’apercevoir directement et sans
efforts les choses que notre intelligence parvieut à