r; mais, 
es idées, 
tout en 
; souvent 
1 il était 
s temps, 
à sa vue ; 
as moins 
les maté- 
ypothèse 
ce. De là 
toutes les 
ju’on re- 
, chaque 
itifs, les 
sivement 
immense 
suffisants 
ayons la 
anciens, 
sont éla- 
ente et la 
lont nous 
lont l'ae- 
, l'huma- 
l'histoire 
mme jus- 
ler quel- 
) oubliées 
ET PIERRES PRÉCIEUSES. 33 
« Un fait qui domine toute l’histoire ancienne c’est 
[alliance étroite de la religion avec la science. Cette 
alliance est un des caractères distinctifs de l’antiquité. 
; On y trouve la solution de bien des problèmes soulevés 
par l’esprit humain*. » 
  
Fig. 19. — Searabée égyptien taillé dans une pierre dure. 
Parmi les grandes idées fausses ou méconnues ad- 
mises par les anciens, il en est deux qui méritent toute 
l'attention de l’historien et du philosophe, parce qu'elles 
permettent de résoudre une foule de difficultés isolé- 
ment inexplicables, et à lier, avec une logique remar- 
quable, étant donné le point de départ, l’ensemble 
général des faits physiques et métaphysiques dépendant 
de notre univers. 
La première consistait à considérer l’homme (mi- 
croscome) comme une réduction en miniature de l’uni- 
{ Hofer, Histoire de la chimie, p. 7, Paris, imp. Didot, 1866, 2e éd. 
5