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dans eet astre flamboyant, servant ainsi à l'alimentation
de la chaleur qu’il verse perpé-
tuellement dans l'espace. C'est
cette fin déplorable assignée
aux cométes par l'auteur du
livre des Principes, qui a fait
dire en riant à Rétif de la Bre-
tonne : « Une puissante co-
méte, déjà plus grosse que Ju-
piter, s'est encore augmentée
dans sa route en s'amalgamant
six autres cométes languis-
santes. Ainsi dérangée de sa
route ordinaire par ces petits
choes, elle n'enfila pas juste
son orbite elliptique, de sorte
que cette infortunée vint se pré-
cipiter dans le centre dévorant
du Soleil... On prétend, ajou-
tait-il, que la pauvre comète,
brûlée vive, poussait des cris
épouvantables. » .
Il sera donc intéressant, à
double titre, de suivre une co-
mète à ses différents passages
en vue de la Terre. Prenons la
plus importante dans l'histoire
de l'astronomie, celle dont l'or-
bitefut calculée par l'astronome
Edmond Halley et qui fut bap-
tisée de son nom. C’est en 1682
qu’elle parut dans son grand
éclat, accompagnée d’une queue qui ne mesurait pas
moins de 13 a 14 millions de lieues. Par l'observation de
LES COMÈTES.
Fig. 49. — tométe de 1680.
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