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IV
DISPOSITION GÉNÉRALE DE L’UNIVERS
LES ÉTOILES SONT DISTRIBUÉES PAR AGGLOMÉRATIONS.
eie n. On a sondé ces régions voilées
Les bornes du possible ont été reculées!
Un mortel a pu voir, armé d'un cil géant,
Osciller des lueurs aux confins du néant.
C'est vous dont notre Herschel, ó pàles nébuleuses
Découvrit les clartés qu'on dirait fabuleuses!
ll apercut en vous des germes d'univers,
Qui, selon leurs aspects et leurs áges divers,
Ou contenaient encor leurs semences fécondes,
Ou déjà répandaient leurs poussiéres de mondes!
Eh bien! de ces lueurs blanchâtres, que les yeux
Discernent vaguement aux limites des cieux,
L’une contient le ciel et le monde où nous sommes.
Ah! la terre est trop loin! je ne vois plus les hommes.
J. J. AMPÈRE.
Au sein de l’espace illimité dont nous avons essayé de
concevoir l'insondable étendue, planent d'opulentes ag-
glomérations d'étoiles, séparées entre elles par des vides
immenses. Nous montrerons bientót que toutes les étoiles
sont des soleils comme le nótre, brillant de leur propre
lumière, foyers d’autant de systèmes de mondes. Or, les
étoiles ne sont pas disséminées au hasard en tous les points