rva-
atit;
peut
ner-
serve
nilli-
arai-
peut
'om-
neau
ssion
e ou
| qui
'D10-
s les
serve
erre,
ma-
règle
ure.
: fon-
's, la
e de
plus
s or-
per à
tale-
INSTRUMENTS D'OBSERVATIONS. 32
ot
ment ou trés-légérement incliné du cóté opposé au réservoir,
il contient de l'alcool et un index formé par un petit cylindre
en émail. Quand le liquide se contracte, ce corps est entraîné
avec lui par un effet d'adhésion jusqu'au point qui correspond
au maximum de contraction. La température s'élevant ensuite,
I’alcool se dilate, passe entre la paroi du tube et l'index sans
que celui-ci se déplace.
Le thermométre a maaima du méme physicien est à mer-
cure et renferme un index cylindrique en fer. L’instrument
élant disposé horizontalement et le liquide se dilatant, ce cylin-
dre est poussé devant lui. Il reste en place lors de la contrac-
tion, car il n'y a pas d'adhérence entre le mercure et le fer. On
se sert d'un aimant pour rétablir le contact.
La commission de l'Association scientifique recommande le
thermomètre a maxima de MM. Negretti et Zambra, opticiens à
Londres. C’est un thermomètre à mercure dont la tige est
étranglée près du réservoir par une pointe de verre qui y est
soudée intérieurement. Le mercure franchit cet obstacle pen-
dant l’ascension de la température, mais dès qu’elle descend, le
thermomètre étant horizontal, la colonne de mercure est di-
visée à l’étranglement et reste en place. La lecture faite, il suffit
de redresser l’instrument et de lui imprimer une petite se-
cousse pour faire rentrer le mercure dans le réservoir.
HYGROMÈTRE.
On appelle état hygrométrique de l’air le rapport de la quan-
tité actuelle de vapeur d’eau qu’il renferme à la quantité qu’il
contiendrait s’il était saturé, la température étant la même dans
les deux cas. Pour obtenir ce rapport, on se sert d'instruments
appelés hygrométres, fondés sur la propriété qu'ont les sub-
stances organiques de s'allonger par l'humidité et de se rac-
19