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pole
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jr le
rend
NT,
[235, 236]
conques seront entre elles comme les segments paraboliques de méme
hauteur d'une méme parabole, dont les distances au sommet de la
parabole sont d'autant de fois le paramétre qu'il y a d'unités dans les
ordres des courbes comparées entre elles.
Soient par exemple (fig. 132) EMA notre courbe parabolique, AF
son axe, EF sa demi-base, AD son parametre, CD le neuvieme de ce
DISSERTATION GÉOMÉTRIQUE.
Fig. 132 (11)
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dernier, B le milieu du reste AC. Je forme de cette premiere courbe
la seconde EOS, telle que, si l’on prend un point quelconque N sur la
base, NO, perpendiculaire à la base, et qui rencontre les courbes M, O,
soit égale à l'arc EM de la premiére courbe. Je forme ensuite de la
seconde courbe la troisième EVR, où NV est égale à l'are EO de la
seconde courbe. De la troisième EVR je forme la quatrième EXL, où
NX est égale à l'arc EV de la troisième courbe. Soit à part la parabole
simple ou d’Archimède, d’axe indéfini GKQY, de sommet G, de para-
metre GH = AB. On demande par exemple le rapport de la quatrième
courbe EXL à la primitive EMA.
La premiere de ces deux courbes étant du quatrième ordre, je prends
sur l'axe l’abscisse GY = 4GH et, sur son prolongement, YO = EF
(demi-base); je méne les ordonnées YT, 0A.
La seconde des deux courbes à comparer étant du premier ordre,
je prends sur l'axe l'abscisse GK égale au paramètre pris une seule
Sa
FErmaT. — III,
nA
A