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METHODE DE QUADRATURE.
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sion est au plus petit des deux comme le plus grand de tous les termes de
la progression est à la somme de tous les autres jusqu'à l'infini (^).
Cela posé, soit d'abord proposée la quadrature des hyperboles :
Je définis hyperboles des courbes d'espéces variant à l'infini, qui,
comme DSEF ( fg. 142), ont cette nronriété que, si l’on suppose, sous
A.
ar la
ontre
hme-
rique
| par-
| pre-
qu’il
onde
ernes
iment
un angle donne quelconque RAC, les asymptotes RA, AC que l'on
peut prolonger indéfiniment comme la courbe elle-méme, et que
si l'on méne parallelement à l'une des asymptotes et comme on le
voudra les droites GE, HI, ON, MP, RS, etc., on aura toujours le
méme rapport entre une puissance déterminée de AH et la méme puis-
sance de AG d'une part, et une puissance de GE (semblable ou diffé-
rente par rapport à la précédente) et la méme puissance de HI,
d'autre part. l'entends par puissances, non seulement les carrés,
cubes, bicarrés, ete., dont les exposants sont 2, 3, 4, etc., mais aussi
les racines simples dont l'exposant est r.
Je dis que toutes ces hyperboles à l'infini, sauf une seule, celle d' Apol-
lonius ou la premiére, peuvent étre carrées au moyen d'une progression
géométrique par urie méthode uniforme et constante.
Soit par exemple l'hyperbole dont la propriété est définie par l'éga-
ue de
jissent
nores-
(*) Seit S la somme des termes d’une progression géométrique décroissant indéfini-
. u .
ment dont le plus grand terme est a, et la raison q == 2 comme q «1I, ¢ > u. Fermat
4 . e—u a ep o. 2 qe e a
énonce la relation —— — +—— ; d'où l’on tire immédiatement S =: à —— — ———
u S--« pu 1-4
Fenmar. — Ill.