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[ 267, 268]
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On peut ramener la puissance de l'inconnue e? à une raeine par
une division (application ou parabolisme). Nous pouvons en effet
poser
METHODE DE QUADRATURE.
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e? —bu;
ear on est libre d'égaler le produit de l'inconnue u par la connue 6
au carré de l'inconnue e. On aura donc alors
b? — a? — bu.
Mais le terme bu peut être décomposé en autant de termes qu'il y en a
dans l'autre membre de l'équation, tout en affectant ces termes des
mêmes signes que ceux de l’autre membre. Posons donc
END
Ea
bu — bi — by,
en représentant toujours, comme Viète, les inconnues par des voyelles
Il viendra
5? — a*— bi — by.
Egalons chacun des termes d’un membre au correspondant de l’autre
On aura
b?— bi d’où i — b sera donné,
— a*-— by ou a’ by.
Le point extréme de la droite y sera sur une parabole primaire. Ainsi.
dans ce cas, tout peut être ramené à un carré; si donc on ordonne tous
les e? sur une ligne droite donnée, leur somme sera un solide recti-
ligne donné et connu.
Soit maintenant proposée la courbe dont l'équation est
as +
ba?—
e
Qu'on applique e à une aire donnée, soit par exemple : e? = b?u,
La droite u pouvant étre composée de plusieurs inconnues, soit
a+ baî— b?i + by.
? à oir :
| t aT ^*
a*— D* i, on aura une parabole sous un cube et une racine.
ba? — b?y, on aura une parabole sous un carré et une racine.
c’est-à-dire primaire.
FERMAT. — Ill.
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