COMMERCIUM DE WALLIS.
reconnaitre votre soigneuse et excellente application sur cette matiére,
de laquelle il est lui-méme, ie crois, attentivement occupé pour le
moment. Mais, pour ne pas vous retenir trop longtemps, je mets fin à
cette lettre, en vous souhaitant tout bonheur et toute prospérité.
Adieu,
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Votre trés affectueux et trés respectueux.
Leyde, le 18 mars 1658.
St. grég.
FR. DE SCHOOTEN.
Je suis heureux que vos remarques sur le texte de Pappus, d'apres
les manuscrits Srécs, correspondent exactement à mes conjectures. Si
je les avais connues plus tôt, j'aurais pris soin de faire imprimer en
même temps ce véritable sens de Pappus, ce qu'il faut maintenant
réserver pour la prochaine édition, s'il y a lieu d'en donner une. Ce-
pendant je vous remercie à cette occasion et vous recommande de tout
Cœur au Dieu qui peut tout donner. Encore une fois adieu.
LETTRE XXXIV
( à laquelle étaient jointes les quatre suivantes )
VICOMTE BROUNCKER 4 Sik Jonny WaLLIs.
Sir, étant pressé, je ne puis que vous adresser les lettres ci-jointes
comme elles me sont arrivées, et vous dire qu’ayant résolu, dans le
propre sens qu'il lui donne, cette proposition qu'il semblait estimer la
plus difficile, je ne me regarde pas comme obligé en aucune facon
d'essayer la solution de ces autres qu'il envoie, comme présumant que
la précédente aurait dépassé mes forces. Autrement, je ne les regarde
pas comme si difficiles, et je crois que si j'en avais le désir et le loisir,
ll pourrait aussi là-dessus recevoir pleine satisfaction de,
Sir, votre fidele et humble serviteur,
1/11 mai 1658.
BROUNCKER.