. 1 eue hors de Dieu Seroit passager et s'6vanouiroit en Simples accidens ou modifications, 
L352 eiu puisq'uil 1' y auroit point la base de Substance dans les choses , laquelle consiste 
ie fi (ger dans Vexistence des monades, (T. IT. P. TI. p. 327.) S'il 1n' y avoit qu" une Seule 
Mi unite , e'est-a-dire Dien, il n' y auroit point de multitude dans la nature et il Seroit 
00 qm ve Seul. Pour ce qui est de V'ame universelle ou plutöt de cet esprit general, qui est 
damment que la Source des choses, puisque vous concevez qu' il est une unite, pourquoi ne pour- 
1%. 18 earaeis riez - vous pas concevoir des unites particulieres? Car etre universel et particulier 
1 90 ne fait rien a !'nnite: ou plutdt il paroit plus ais6 que 'nnits goit dans le particulier, 
Q (1. V. Dp. 45.3 
in S 4. 
. | Quand je cherchai les dernieres raisons du mecanisme et des lois meme du 
| "u mouvement, je fus tout Surpris de yoir qu'il etoit impossible de les trouver dans les 
01) "" mathematiques et qu' il falloit retourner a la methaphysique. C'est ce qui me 
3000 ramena aux entelechies et du materiel au formel. (T.V.p. 9etT.I11p.49.).... 
Te Outre les notions de la pure geometrie , il faut mettre une notion sup6rieure, 
" qui est celle de la force, par laquelle les corps peuvent agir et r6sister etc. 
(Otium Hanoveranum sive Miscellanea Leibnitziana. J. F. Fellerus 4718. 
P- 325. 353. Recte quidem illi (Cartesiani) omnia phaenomena 8specialia corporum 
per mechanismos contingere censent, 8ed non Satis perspexere , ips03 fontes mecha- 
nismi oriri ex altiore causa. (T. II]. p. 333 et T. Il. p. 29. 324.) In rebus cor- 
| poreis esse aliquid praeter extensionem, imo extensione prius, admonnimus, ... 
ar | certe oportet ut vis illa , , , intimam evrporum naturam constituat. (T. III. p. 345.) 
S 5. 
Necesse est dari Substantias Simplices , quia dantur composita : neque enim 
compositum est nisi aggregatum Simplicium. (T, Il. p. 24. Principia philo- 
SOPphiae,) La matiere ne Sauroit Subsister Sans Substances immaterielles , &'est-a- 
dire Sans les unites. (Nouv. Ess. p. 344.) Tecum Ssentio, id quod passivum est, 
nunquam solum reperiri aut per se Subsistere. (T. II. P. I. p. 260.) Ipsi motus 
(qui Sunt causae figurarum) non possunt explicari nisi advocatis entelechiis. (Ibid. 
P- 272.) L"'ame est le principe de V'operation. (The6od. II1. P. S 400.) 
La ou 11 y a plusieurs ou la multitude, il faut qu' il y ait aussi des unites, car la mul- 
titude ou le nombre est compose d'unites. (T. V. p. 44.) Sans la force active 
dans les corps il m' y auroit point de variete dans les phenomenes ce qui vaudroit 
n „a une autant, que s' 1] n' y avoit rien du tout. (Replique aux reflexions etc. de 
uit Mr. Bayle. T.I[. p. 89.) S' il n' y avoit rien que de passif dans les corps, 
leurs differens etats Seroient indiscernables, (Preface Theodic. et de ipsa natura 
S 143 et T. VI. P.I. p. 175.) Les corps organises aussi bien que les autres ne 
demeurent les memes qu' en apparence. ,,, Si on ne se rapporte point a !' ame, 
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