PRÉFACE. XUr
subdi- humaine. La distribution des sciences du premier
‘espon- ordre entre ces deux règnes ne pouvait souffrir
subor- aucune difficulté; mais j'avais besoin de subdivi-
sions intermédiaires pour en former, dans chaque
\isième règne, une série naturelle qui mît en évidence les
‘emier, rapports plus ou moins intimes qu’elles ont entre
s con= elles.
5 point Bien convaineu que-ces subdivisions, pour être
upé en naturelles, ne devaient pas être établies d’après
s alors des idées préconçues, des caractères choisis d'a-
lu pre=- vance, mais d’après l’ensemble des rapports de
visions tout genre que présentaient les sciences qu’il s’a-
planta- gissait de classer et de coordonner, j’essayai suc-
ses, et cessivement de les grouper tantôt trois à trois,
sions : tantôt quatre à quatre, suivant les divers ve
nes et d’analogie qu’elles me présentaient. Chacun de ces
ement arrangements me faisait découvrir entre elles de
règne nouveaux rapports, mais il me restait à choisir
l’arrangement qui mettrait ces rapports en évi-
\bran- dence de la manière la plus complète, et ce ne fut
‘e que qu’au printemps de 1831 que je m’aperçus que,
tandis pour n’en négliger aucun, je devais d’abord grouper
oi aux les sciences du premier ordre deux à deux, en joi-
on de gnant chacune d’elles avec celle qui lui était liée
1 COm- par des analogies plus marquées et plus multi-
8 ma- pliées ; que les groupes ainsi formés devaient être
ensée de même réunis deux à deux, chacun avec celui