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eiten Arbeiterassociation anerkannt werden, dass sie zur Verbrüderung
und der Arbeiter verschiedener Nationalitäten beizutragen sucht und
3 die dass aus ihren Sectionen verschiedene Schöpfungen gesunder
Vor- Selbsthülfe hervorgegangen sind. Aus den Statuten der meisten
ebri- schweizerischen Productiv-Genossenschaften weht uns überhaupt
von ein entschlossener Sinn, ein theilweise schwungvoller Ton und
acht. das Bewusstsein der Erfüllung einer wichtigen socialen Aufgabe
chaft entgegen. Diese Stimmung ist schon aus dem Vorwort zu den
gann, Statuten erkennbar.
und Das Vorwort zu den Statuten der Genfer >» Association
veure Cooperative d’Ouvriers Tailleurs ‚Le Travail‘« lautet:
I der Expos6 des motifs: »Considerant que la profession de
keine tailleur, par l’6tablissement des maisons de confection et l’intro-
stand Auction des machines, voit le salaire pöricliter, baisser graduel-
x des lement, les chömages devenir plus longs, sans quil en r6sulte
un int&ret r6el pour le consommateur. Qwen outre la capacite,
gegen le bon goüt, la science du mötier d6croitraient insensiblement
d soll et par un mouvement continu, si l’on ne portait pas rem@de au
3 gar bon marche quand meme.
"” von Considerant toutefois que si les maisons de confection ont
AUS pu se fonder et les machines s’introduire, c’est qu’elles ont leur
Stoffe raison d’ötre, en r6pondant a un besoin ou un progrös in6vitable.
ı Mit- Par ces faits, les sus-nommes, sans repousser Ce qu'il peut
‚eisten y avoir de bon et de vrai, veulent faire tourner au profit du
beiter. v6ritable producteur, au travailleur, ainsi qua Vacheteur, (es
ive zu henefices et avanlages qu’apportent, que r6alisent le bon marche
erfung et de la confection et des machines. C’est par ce moyen seule-
lassen ment que le progres sera une v6rit& mettant en harmonie deux
‚OssenN- int&röts oppos6s, celui du producteur et celui du consommateur ;
‚stellte A Tun, augmentation du prix de son travail, des lors certitude
sollen. de perfectionnement dans ses @uVreS; a VT’autre, diminution gra-
litäten duce dans le prix de ses achats, de ce cöte 6galement, satis-
er im faction de son interet personnel.
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