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Métiers; nous nous bornerons donc à inscrire les formules déduites des obser- 
vations : 
1. OC” = A + OP,72 
2 er = O + 1P,55 
“1C” = O + 1P,6 
3. C” = A + 1P,920, 
La température et la pression barométrique n’ayant pas changé sensiblement 
pendant la durée de ces observations successives, on peut admettre que la tare est 
restée invariable. 
Moyenne de 1 et 3: C” = A + OP,95 = A + OTBF,9204 ; 
moyenne de 2: C” — O + 1P,615 = O + Omer,344 ; 
d’où O = A — Om85,140, 
Mais A = K,—P,, O=K, —-P;; 
donc K, = K, + (P. — P,) — OmEF,140, 
On a d’ailleurs: P, — P, = (48,5599 — 48,6724) » 1,292 STE ‘ done 
pour t = 8,1 et f = 8m7,07; 
par suite P, — P, = — 076,140; 
done , K, = K, — O"S7,980. 
Ainsi le kilogramme de l’Observatoire Impérial de Paris serait trop léger de 
Orer,98 seulement. 
8. 5. 
Comparaison du Kilogramme en platine de Berlin avec le prototype 
platine des Archives. 
Le 5 février 1859: H, = 755,14; t = T%9,20; ff = T"3,6o. 
Sensibilité de la balance 17# — 5P,4, 
LL C” = A + 29,95 
9 C” = B’ + 13"8,5 + 3P,50 
- Le = B’ + 13mer.5 + OP,55 
3. C” = A + OP,90. 
On peut encore admettre H.. t et par suite C” invariables pendant ces pesées 
SUCCESSIVES. 
Moyenne de 1 et 3: C” = A + 19,575 = A + Orer,999 ; 
moyenne de 2: C” = B’ + 13mer,5 + 29,095 = B’ + 136,875 ; 
d’où B' = A — 13"6",583. 
Mais A = K, — P, , B’ = K; — P,:; 
par suite K,” = K, + (P,” — P,) — 183,585. 
On a d’ailleurs: P," — P, = 1,2654 < 1,2982 - LE ’ BE oeu = 1,580 ; 
Kw = K, — 128005. 
Ainsi le kilogramme platine de Berlin étalonné en 1817 est trop léger de 12"8r,0.