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sé
du
Troisième Cas. Kilogramme en laiton et kilogramme à surface vitreuse.
La tare est le kilogramme M à surface vitreuse, le kilogramme en laiton R du
Collège de France est sur le second plateau:
; Sous la pression de 758mw,41 ; K, = K, — 44",659 ;
($. 56.) ) id. 416,25; | Ka = K, — 44,60 :
) id, 14,22 ; K, = K. — 45,050.
La plus grande différence s’élève à Omillist, 391,
La tare étant toujours le kilogramme M à surface vitreuse, le kilogramme en
laiton B”” de Berlin est sur le second plateau:
Sous la pression de 760"m,97; | Kn = Ko" — 41",836 ;
; 9 on » — KR 1 .
am | 8 me MINT
° 9 ’ m b 9150 +
id. 36,83 ; K, = K,” — 42.961.
Le maximum de la différence est de 1]"illier,347,
La tare étant toujours le kilogramme M à surface vitreuse; le kilogramme en
laiton B””” de Berlin est sur le second plateau:
( Sous la presion de 759,44; Km = Ky"" — 387,849 ;
id 257,40 ; Km = K,”” — 38,97 ;
id. 12,54 ; Kn = K,”” — 39,560.
Les différences sont ici sensiblement plus petites que dans le cas précédent, car le maxi-
muin ne s’élève qu’à Omsr. #11
s. 66.
Dans l’examen comparatif que nous venons de faire, nous n’avons fait intervenir
que des pesées simples, afin de limiter, autant que possible, l’accumulation des erreurs
partielles, Si l’erreur possible dans une seule pesée est de Ormiller,zo, le maximum
d’incertitude sur les pesées comparatives de deux kilogrammes est de Orilisr,ço. C’est
en effet la différence que nous avons trouvée, plusieurs fois, entre les pesées d’un
même kilogramme sous la pression ordinaire de l’atmosphère, S'il ne survenait pas d’au-
tres causes perturbatrices dans les pesces faites successivement sous diverses pressions,
on devrait s’attendre à ne pas trouver des différences dépassant Qnilligrg, Or, dans les
résultats que nous avons ci-dessus énumérés, nous avons trouvé sonvent des différences
plus grandes et qui ont atteint 2”illisr.49,
Doit-on attribuer ces différences, plus grandes, à des condensations anormales d'air
à la surface des corps plongés dans l’air ordinaire, le caleul ne tenant pas compte de
ces condensations latentes? Ou bien, ces différences proviennent-elles de variations mo-
mentanées subies par la balance, notamment dans les longueurs relatives des deux bras
du fléau, par suite des changements de température qui se produisent, nécessairement,
quand on fait le vide dans la cage de la balance, ou lorsqu’on vw fait rentrer l’air?
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