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ainfi porté eft quarré , le pendentif offrant alors 
la forme d'un vrai coin,tant en plan qu’en élevation, 
fon effort & par conféquent celui de la tour dont il 
elt chargé, ne fauroit manifeftement fe faire que 
contre les côtés du quarré ou des voûtes des nefs , 
& celui qui s'opere vers l'angle du. pilier où la 
pointe inférieure du coin merite peu de confidéra- 
tion. Mais, lorfque les angles du quarré font cou- 
pés pour former dans le bas d’un dôme un octogo- 
ne irregulier , alors les petits côtés k / fervent en 
partie de piédroits aux pendentifs , diminuent fa 
faillie, augmentent la force des piliers, & les met- 
tent en état de partager de concert avec les grands 
côtés ou. les voûtes des nefs la poufiée du pen- 
dentif. Comme ce dernier procédé eft celui dont 
on fait principalement ufage dans les Coupoles un 
peu confidérables , nous nous y'attacherons prin- 
cipalement. 
En fe rendant attentif à l'épure du pendentif, 
détaillée particuliérement dans les figures IV, V , 
VI & VII. Planche LXX XXI, & à la rélation & 
tendance de fes vouffoirs , tant en plan qu’en pro- 
fil & en élevation, il fera aifé de reconnoître l’ap- 
plication des principes expliqués ci-deffus. 
ABCDE, fie. IV & V,eit la portion triangulaire 
de la voûte demi-fphérique , reitée après les deux 
feCHons paralleles & verticales. [ 
BB, eft le mur vertical tangeant à la calotte 
enlevée, lequel eft ici fuppofé ouvert par un grand 
arc À placé à la rencontre des voûtes des bras de 
la Croix. [ 
BC, eft le pan-coupé ou le petit côté de l'o&to- 
gone , fait pour diminuer plus ou moins , la faillie E 
du pendentif, & pour partager fon effoit avec les 
grands côtés BB.