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xiv AVANT-PROPOS.
folidité. On y voir que la conftruttion eft
unart tout de raifonnement, dontles regles
dérivent effentiellement des principes , de
l'équilibre & de la pefanteur,qui font des loix
de la nature, auxquelles eft aflervi tout ce qui
exifte. Une voûte , quelle qu’elle foit, étant
un compofé de vouifoirs ou de pierres tail-
lées en forme de coins , qui font fufpendues
en l’air , ces coins ne fauroient évidemment
être contenus avec folidité en leur place
dans cette pofition , qu’autant qu’ils feront
preffés par les côtés, fuivant leur appareil
ou leur tendance à agir, parune force fupé-
tieure à l’effort qu’ils exerceront pour
tomber. Or cette force réfidant dans fes
piédroits ou fupports , il refulte donc que,
s’ils font par leur mafle inférieurs à cette
pouffée , ils feront-infailliblement renverfés,
mais que, fi au contraire ils font fupérieurs
à l'effort en queftion , ils contiendront la
voûte , refferreront & arcbouteront fes
voufloirs, de maniere à la rendre inébran-
lable ; tel eft dans le fimple ce qui confti-
tue en général la folidité d’une voûte , &
d’où vient il faut qu’il y ait une relation
conftante entre fa pouflée & fes fupports.
Que l’on s’avife de n’y avoir aucun égard,
& de tenir les piédroits , en effet, plus
foibles que la pouflée ne comporte , fous
prétexte de les alleger , en {e réfervant de
fuppléer à leur réfiftance naturelle par des
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